"Ulcère, gangrène" : Il n'i a nul juge : chascun est juge de soi, et pour ce ne sont il point chastiez. Et durent lonc temps sanz estre malades et muerent volentiers de mortmal. (VIGNAY, Le Miroir historial C., 1333, II, 322). ...mon chival me ferist l'autre jour si malement (...) Ore regardez comment ma jambe en est tout enfleez. J'en ai grant cremeur qu'il devendra un mormal, car il puit plus vilaynement que un fumers pourriz tout plain de fiens (Man. lang. G., 1396, 83).

Rem. MONDEVILLE, doc.1396 (mormel) et doc. XVe s. (mortmal ; TilGlan.) ds FEW.