"Petit marchand ambulant, petit mercier" : Pour vous et pour voz commensaulx Bonne seroit une oye aux aulx ; La couleur aussi fort amende Pain d'espices, bonne vyande, Que les petitz mercerotz vendent, Qui à ce boire les gens tendent ([ROBERTET, Oeuvres Z., c.1450-1500, 109]). Puisque pappes, roys, filz de roys Et conceuz en ventre de roynes Sont enseveliz mors et froys - En aultruy mains passent leurs regnes - , Moy, povre marcerot de regnes, Morrai ge pas ? ([VILLON, Test. R.H., 1461-1462, 50]). [Cf. n.417, p.63 et P. Imbs, Trav. Ling. Litt. 16-1, 1978, 236] Et ainsi nous mourrons de fain Entre nous, chetiz merseros. ([Pipée R., c.1470-1480, 163]). |