"Digne, qui appelle le respect" : Mais aussi considere et scet bien la fille du roy que son bien, son avenement, son honneur, sa garde et sa protection despend du roy comme de son vray pere, par benigne, civile et dignative adopcion (GERS., Réf. roy. G., 1405, 1138). Et quant a ce riens ne obsiste ne empesche l'indignité du recepvant, mais, de tant que la personne est plus indigne, de tant doibt elle estre plus esmeute de tele dignation et dignative condescension. (Traité S. Sacr. B., c.1450-1500, 151).