Estre le/la bienvenu(e). "Être accueilli amicalement" : Firent partout leurs enquestes et privees et publiques. Et en plusieurs lieux trouverent que les troys dames estoient les bienvenues ([MÉZIÈRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 232]). Auquel plusieurs qui là [en la taverne] estoient assistens, dirent qu'il s'asseist, et qu'il feust le bien venus. ([Ch. VI, D., t.2, 1400, 8]). ...et que lequel d'eulx qui luy plaira de faire cest honneur que d'y toucher, fust le très bienvenu, et s'en tenoit plus honnoré que d'aultre personne de tout le monde. ([LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 325]). Le herault le receupt moult joyeusement, et luy dit qu'il fust le très bienvenu, et luy fist ouverture ([LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 147]). |