| 10 exemples |
| 1 | Rompés leur les os a tous trois, S'ilz vivent, et sans aultre effroiz Illecques en terre les mectés ! (Pass. Auv., 1477, 228). |
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| 2 | ...plusieurs maulvais garsons (...), lesquieux vivent sur vos subgectz en leur faisant des maulx inestimables ; et se sont divisés par diverses bandes en divers chemins et ont destroussé trois ou quatre cens gens d'esglise qui venoient au serme en vostre église cathédrale de Séez (Cartul. Laval B., t.3, 1486, 321). |
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| 3 | Nepourquant ceulx qui o plenté Des biens en charité se vivent... (Tomb. Chartr. W., c.1337-1339, 76). |
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| 4 | Et en deffandons, consideré que les bestes de nostre pays se vivent ["peuvent être nourries"] de aussi bon marché à ceste année comme paravant le temps de la chierté qui est, que homme ne vande à plus hault pris beste, char, beuff ne suiff (Très anc. cout. Bret. P., Textes divers, 1420, 384). |
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| 5 | Quant nous entendons donc par Saturne la premiere planete, nous povons ainsy faindre et raisonablement que Cybeles, c'est a dire la terre, peut sa fame estre dite pour la grant influence que elle reçoit de ly, de laquelle influence elle conçoit les fruiz et les biens vegetables dont les homes se vivent et les bestes (EVR. CONTY, Eschez amour. mor. G.-T.R., c.1400, 324). |
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| 6 | Sur le Noël, morte saison, Que les loups se vivent du vent... (VILLON, Lais R.H., c.1456-1457, 11). |
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| 7 | ...des hommes [du pays de Brabant] on soult dire, et se trouve assez veritable, que tant plus vivent et plus sont sotz (C.N.N., c.1456-1467, 461). |
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| 8 | Item les hommes charnelz, qui vivent selon la char, qui font de leur ventre leur Dieu, comme gloutons (Somme abr., c.1477-1481, 105). |
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| 9 | Vraie amour fait les cuers vaillans, Entrepreneurs et assaillans (...) ! Ilz vivent veritablement Et a tous aggrëablement (CHART., L. Dames, 1416, 286). |
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| 10 | Et les autres disoient que c'est une chose naturele et que toutes vertus natureles, combien que ilz ne soient pas divines simplement, toutesvoies peuent il estre appelees divines en tant comme ilz vivent en Dieu. (ORESME, E.A.C., c.1370, 518). |
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