C.N.R.S.
 
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90 exemples
 1 ...la teneur d'un arrest ou jugié donné en la court du roy noseignieur pour les diz religieus contre le dit abbé (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330, 15).
 2 Et en un autre lieu dudit parrochage estoit assis un arpent de terre en ladicte Cousture Sainte Marguerite, tenant aus murs de l'ostel du Coudray qui estoit aus dictes religieuses, ou quel arpent les diz religieus prenoient toute la disme. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1335, 107).
 3 Un tien servant ochi veras (FROISS., Par. am., c.1361-1362, 43).
 4 En .IJ. amans qui s aimment signourie Estre ne doit, einsois doivent avoir Un cuer, une ame et une maladie, Une pensée, un desir, un voloir (MACH., L. dames, 1377, 229).
 5 Oncq ensemble n'avïons riens parti Mais un desir, un vouloir, un parti, Un cuer entier de deux cuers miparti, Pareil plaisir et commun sentement. (CHART., Compl., 1424, 326).
 6 Et s'entre amoient ainsi que enfans freres font et se vetoient de robbe et d'abis ensamble, car ilz estoient auques d'un grant et d'un eage (FROISS., Chron. M., XII, c.1375-1400, 83).
 7 ...liquelz les conseilla que il les occeissent sanz ce que il en demourast un. (BERS., I, 9, c.1354-1359, 3.7, 5).
 8 ...et, comme j'ay dit, a fin que leurs exemples ne soient estrangees ou, comme fausses, oubliees et despitees, Constantin de nostre loy crestienne, Theodosius, Justinien, Leon et les autres trescrestiens princes ont eu pooir de bien aprendre et entroduire un nostre prince crestien du temps present. (FOUL., Policrat., IV, 1372, 64).
 9 Et, quant une louve est chaude, s'il a lous ou païs, ilz vont touz aprés elle, einsi comme font les chiens aprés une lisse quant elle est chaude, mais jamais nul ne l'alignera fors que un. (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 92).
 10 Et einsi en prendra deux ou trois ou au moins un. (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 235).
 11 Si ne puet qu'il ne viengne une heure Qu'un coup a la belle demeure, Et par ce seul coup en descent, Après, un a un, plus de cent, Dont li periers est abatus. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 65).
 12 Qant il orent ce fait, il laissierent une petite plance aler, sus laquelle lors gens montoient un a un et rentroient ens ou chastiel. (FROISS., Chron. D., p.1400, 471).
 13 L' EMPEREUR. Maishuit pour deffendre trop tart Venront. Que n'entrons dessus eulz ? Avant : un et un, deux et deux. Entrez touz ens. (Mir. Oton, c.1370, 333).
 14 VII. maris un et un Estranglerent (DESCH., M.M., c.1385-1403, 12).
 15 ...un leur manoir et ses appartenances, assis en ladite ville des Essars (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1376, 464).
 16 Car briefment seront en tel place Qu'il trouveront leurs anemis, Mil contre un (MACH., P. Alex., p.1369, 50).
 17 Et s'estoient XXX. contre un De gens d'armes et de commun, Li Sarrazin, que Dieus confonde ! (MACH., P. Alex., p.1369, 157).
 18 Car il doubtoit moult la vaillance Dou Caraman et sa puissance, Et ce qu'il avoit tant de gens Que contre un estoient deus cens, Voire encore plus (MACH., P. Alex., p.1369, 171).
 19 ...noz ennemis sont bien dix contre un de nous. (ARRAS, c.1392-1393, 108).
 20 ...et avoient esté li François bien diis contre un. (FROISS., Chron. D., p.1400, 743).
 21 ...mais convient que chascune partiete, tant soit petite, du corps compost soit mixte des .IIII. elemens, car autrement tel corps ne seroit pas proprement un. (ORESME, C.M., c.1377, 616).
 22 En cel angle la voy assis Un nostre servant, Alexis, Qui la s'est tenuz si long temps Qu'esté y a dis et set ans, Pour nous servir plus humblement Et de cuer plus devotement (Mir. st Alexis, 1382, 337).
 23 ...a ouvert un leur coffre, et en ycellui a prins plusieurs aneaux d'or et autres choses (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 195).
 24 Pour ce l'ay dit que, quant j'estoie De l'estat qu'innocence avoie, Que juenesse me gouvernoit Et en oiseuse me tenoit, Mes ouevres estoient volages : Varians estoit mes corages ; Tout m'estoit un, quanque vëoie, Fors tant que toudis enclinoie Mon cuer et toute ma pensée Vers ma dame, qui est clamée De tous seur toutes belle et bonne. (MACH., R. Fort., c.1341, 3).
 25 Il n'euist cure où il euist pris terre, ou en Poito ou en Bourdelois : tout li estoit un, mès que il fust oultre le mer (FROISS., Chron. R., VIII, c.1375-1400, 95).
 26 Ne onques on ne li pot oster ne brisier son dit pourpos que toutdis il ne fust en un, et encores plus fermes et plus entiers (FROISS., Chron. L., VI, c.1375-1400, 203).
 27 Je vous confesseré tout voir : Dès lor qu'Aubin ma fille ot prise, De lui amer fui si esprise De bonne amour conme mon filz Que soiez certain, sire, et fiz, Pluseurs l'amour bien apperçurent, Dont telx oppinions conçurent Qu'il me mistrent sus tel diffame Que tout aussi con de sa femme, Ce disoient, de moy faisoit Toutes les foiz qu il lui plaisoit, Et de nous deux c'estoit tout un. (Mir. femme, 1368, 204).
 28 Item, eslire tres bonnes choses et avoir de telles choses vray opinion, ce n'est pas tout un. (ORESME, E.A., c.1370, 187).
 29 Et opinion est plus de autres choses et autrement, car opinion ne s'applique pas a l'execucion et au fait comme fait eleccion et ainsi n'est ce pas tout un. (ORESME, E.A.C., c.1370, 187).
 30 Et donques n'est ce pas tout un suppouser une chose false et la suppouser impossible. (ORESME, C.M., c.1377, 210).
 31 ...es bestes le milieu de la beste et le milieu de son corps ne est pas un. (ORESME, C.M., c.1377, 516).
 32 Et aussi li vueill aprendre que routes et erres vuelent dire, quar ce est tout un. (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 151).
 33 Noble et puissant roy, dist Remondin, il est bien verité qu'il a grant temps que un vostre predecesseur regna. (ARRAS, c.1392-1393, 56).
 34 Egardez, Gautier : veez vous La mairesse aler et son gendre ? Pour certain l'en me fait entendre Qu'il sont tout un. (Mir. femme, 1368, 178).
 35 Et ceuls qui sont parfects amis sont comme tout un. (ORESME, E.A.C., c.1370, 414).
 36 Et tele chose est nee et ordenee pour estre faite a un. (ORESME, E.A., c.1370, 424).
 37 J'ay oy de toutes voz oppinions, qui au regart de la foy mentie et du pardon estes toutes a un. (LA SALE, J.S., 1456, 14).
 38 S'ainsi questions tu nous feisses Avecques moy rien ne perdisses Moy et toy a un feussion. (Myst. st Martin K., a.1500, 376).
 39 ...et un sien frere plus jeune de lui (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1400, 776).
 40 ...et envoya robes de paremens tout d'un aux .XIIII. enfans (Ponthus Sidoine C., c.1400, 13).
 41 Et ce je entent du premier ciel et du premier mouvement, car es cielz qui sont sous ce premier pluseurs mouvemens conviennent et sont concurenz en un. (ORESME, C.M., c.1377, 410).
 42 L'en voit par experience que par force de feu d'une masse ou il a de l'or, l'or est tout assemblé en un et toutes les autres choses sont separees de l'or et chascune assemblee en un. (ORESME, C.M., c.1377, 654).
 43 Et aussi dient aucuns que le desactrempé est incontinent et l' incontinent est desactrempé, et prennent confusement tout pour un. (ORESME, E.A., c.1370, 365).
 44 ...après un mien volume appellé de la Mutacion de Fortune... (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 7).
 45 Mais le grant bien que chascun d'eulz attendoit par le benefice de fortune, Daire seullement le gaigna par la subtillité d'un sien varlet, qui avoit nom Orbarès. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 30).
 46 S'alai einsi moult longuement, Sans issir de mon pensement, Tant que vi un trop biau jardin Qu'on claimme le Parc de Hedin. (MACH., R. Fort., c.1341, 29).
 47 Mais, par m'ame, nulle mercy N'aray de vous, n'en doubtez point, Que je ne vous mette en tel point, Se de ce la truis ynocent, Et fussiez aussi bien un cent Conme deux estes. (Mir. abbeesse, 1340, 79).
 48 Pour ce doivent estre flechis Voz cuers a tendre au bien commun, Car ne leur vauldroit tant comme un Cent mille autres (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 143).
 49 Je me nomme Garin et fus nez de Pierregort, filz d'un homme qui se disoit Josuer (BAGNYON, Hist. Charlem. K., c.1465-1470, 41).
 50 Si commencièrent à... propose trettiés de pais entre l'un roy et l'autre (FROISS., Chron. L., V, c.1375-1400, 83).
 51 ...il n'ot onques un villein pensement En nos amours. (MACH., J. R. Beh., c.1340, 64).
 52 Pour fere vin muscadet, prenez un fil de fer et le boutez en la moelle de la plante du sep (Hent. soutill. L., c.1466, 85).
 53 Car pour un cuer saouler Et soustenir, Plus querir Ne doit merir Qui aimme fort. (MACH., R. Fort., c.1341, 16).
 54 ...un grant cerf froye bien aucune foiz en petiz arbres (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 153).
 55 Et, se le veneur est en requeste, il ne li convient mie fere si grant maistrise come a un cerf, quar, come j'ay dit, un sangler ne fet point de reüses einsi que un cerf, si n'est pour demourer aux abaiz et atendre les chienz (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 232).
 56 ...frére, qui estes partans Les biens Dieu, vous orrez par temps Des nouvelles d'un vostre amy. (Mir. enf. diable, c.1339, 42).
 57 Par gloutonnie tout pechié S'ensuit et toute mauvaistié, Et pour ce, un chascun fuir La doit, et non pas ensuir (CH. D'ORLÉANS, L. péché C., 1404, 548).
 58 Se d'aventure, un homme bat sa femme enchainte ou la pile du pié, lors qu'elle enfantera, moult grant traveil en aura, et bien souvent les en couvient morir. (Ev. Quen., I, c.1466-1474, 87).
 59 Un homme qui femme prent par mariage doit savoir qu'elle ne soit nee sur jour perilleux, s' il n'en veult avoir povre joye. (Ev. Quen., II, c.1466-1474, 143).
 60 Apres il monstre que tout un mouvement circulaire n'est pas contraire a tout un autre circulaire et par .II. raysons (...). (ORESME, C.M., c.1377, 92).
 61 Honoré, soies bauz et liez De par la royne honnorée, Qui veult que ta manne doublée Soit, si la t'envoie par my, Pour partir a un sien ami, Qui par cy assez tost venra (Mir. enf. diable, c.1339, 42).
 62 Or couvient il par mainte guise Que je par quelque voie quiere Bon conseil en ceste matiere : A deux conseillier m'en vouldray, Dont a l'un mon fait escripray, C'est a mon vray loyal ami, Qui ara grant pité de mi (DESCH., M.M., c.1385-1403, 36).
 63 ...et par vertu du povoir a nous commis du roy noseigneur par ses dites lettres, vous mandons et commetons a chascun de vous que vous ou l'un de vous qui requis en serez metez ou faites metre la sentence parmi laquelle ces presentes sunt annexees... (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330, 34).
 64 Un mien cousin me vint veoir (Mir. abbeesse, 1340, 64).
 65 Car selonc ce qu'Amours le vuet Deduire, il s'esjoïst ou duet, Et selonc l'estat de Fortune Qui les amans souvent fortune, L'un bien, l'un mal, l'autre a sa guise, Selonc ce qu'elle se desguise. (MACH., R. Fort., c.1341, 32).
 66 ...tout einsi truis Que Fortune par ses conduis Monte l'un, l'autre avale (MACH., R. Fort., c.1341, 36).
 67 ...tousjours boire vin ou tousjours boire eaue est contraire l'un a l'autre (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 26).
 68 Jehans de Launoit ... avoit plus chier à estre ocis que ars ; et il fu l'un et l'autre (FROISS., Chron. R., X, c.1375-1400, 70).
 69 Maiz tous deux ne sont point faulsaires : Si rescourray A l'un mon cuer quant je pourray ; Neantmoins a l'autre demourray (CHART., L. Dames, 1416, 265).
 70 Beau niepz, ce dist la dame, piecha mais ne fuz tant joieuse de venue comme je suis de la vostre, car vostre sone m'a esclarci pluiseurs oppinions et doubtances que j'avoie en mon estude et si que l'un me donne a congnoistre l'autre. (Percef. V, R., t.1, c.1450 [c.1340], 586).
 71 Un mien sergent loyal et fin... (Mir. ev. arced., c.1341, 133).
 72 Et avint que .I. jour il estoit alés rivoiier, et jetta son fauconnier .I. faucon apriés le hairon, et li contes aussi un. (FROISS., Chron. D., p.1400, 806).
 73 Nonobstant que Romulus, qui fonda Romme, comme il establisist plusieurs nobles ordennances, fist eslire entre mille de ses gens d'armes, un, le meilleur (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 116).
 74 Pour le corout du duc esbatre Respondit tantost un des quatre : ... (Tomb. Chartr. Trois contes S., c.1337-1339, 80).
 75 Et puet le veneur lier le meistre ou meistres, qui est la grosse corde qui tient au laz, a un arbre, ou le puet lier a un des bastons du pertuis. (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 253).
 76 Sez perez, qui avoit non Spurius Lucretius, avecquez un son ami apelé P. Veler... (BERS., I, 1, c.1354-1359, 58.6, 97).
 77 ...un des diz religieux, passanz d'aventure par la rue et les vist entrebatanz... (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1392, 650).
 78 Un de ces jours serez contesse (Mir. Amis, c.1365, 22).
 79 Par ce fil, mais que li rois de France lor voelle renvoiier, se porent il un de ces jours retourner et ocire ce d'Artevelle (FROISS., Chron. D., p.1400, 451).
 80 ...en disant que, se einsi ne le faisoient ou le venissent deffendre ou eus opposer y souffisaument dedens un an ensuivant le dit jour que les diz sergens y estoient alez la dite premiere fois (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1338, 78).
 81 Sire, vous avez une fille Dont Dieu vous face pére lié, Laquelle, sur ce conseillié, Pour un nostre ami requerons Par mariage (Mir. chan., c.1361, 154).
 82 Et semblablement, en icellui temps mesmes, un ou deux jours ensuivans ce que dit est... (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 220).
 83 ...sans actendre un moys ou deux ains que aprestéz fussent ne venus au mandement (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 135).
 84 J'oseroye, pour voir, jurer Que, s'un seul jour aviez esté Ou deduit que g'y ay trouvé, Jamais departir ne vauriés (Dit prunier B., c.1330-1350, 52).
 85 Et si tost qu'elle dit le m'ot, Je n'eüsse dit un seul mot Pour toute l'empire de Romme (MACH., R. Fort., c.1341, 26).
 86 En la chambre à parer entrerent Qu'onques un seul mot ne sonnerent (MACH., P. Alex., p.1369, 267).
 87 Ce fu fait le samedi huit jours ou mois de juing, l'an mil trois cens trente et un. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1331, 41).
 88 ...cent et un soulz quatre deniers (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1364, 276).
 89 Le roy Edouard le conquist en vingt et un jours (COMM., I, 1489-1491, 216).
 90 Nous faisons assavoir que pardevant nous en jugement pour ce personelment establiz Mahy de Plailli, tavernier, bourgois de Paris, demourant en l'encloistre de l'eglise de Sainte Oportune, et Agnés, sa fame, a la quele il donna auctorité quant aus choses qui ensuient, recognurent en droit, de leurs bonnes volentez et de certaine science, euls d'un commun assent avoir vendu... (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1333, 53).
DMF 2020Robert Martin
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