| 9 exemples |
| 1 | Et donques les .V. valent .II. et, par consequent, chascun tel angle de pyramide vault .II. quintes de angle droit corporel (ORESME, C.M., c.1377, 650). |
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| 2 | Seellée une lettre pour Wermond, à qui Madame donnoit une serganterie de la quinte du Mans, vacant par la mort de Estienne Fortin. (LE FÈVRE, Journ. M., c.1380-1390, 511). |
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| 3 | Lesdiz marchans et habitans supplient et requièrent que la cloaison levée au Pont-de-Sée et en ladite ville et quinte soit traictée et mis ordre autre qu'elle n'a esté le temps passé (Roi René vie L., 1459, 289). |
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| 4 | ...le juge de la provosté en la ville et quintes d'Angiers congnoist de toutes actions reelles et personnelles (Cout. instit. Anjou Maine B.-B., t.3, 1463, 79). |
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| 5 | ...et mis a bonne musique par nombres armoniques et acordans par tierces, quintes, sisiesmes, doubles tons, demitons et autres partisseures (FOUL., Policrat. B., I, 1372, 114). |
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| 6 | ...car quant le couraige et l'esperit des creatures ententives aux autres ars dessus declairez sont lassez et ennuyez de leurs labours, musique, par la douçour de sa science et la melodie de sa voix, leur chante par ses ..%VI.. notes tierçoyées, quintes et doublées, ses chans delectables et plaisans, lesquelz elle fait aucunefoiz en orgues et chalumeaux par souflement de bouche et touchement de doiz (DESCH., Art dictier R., 1392, 269). |
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| 7 | Et est ceste consonancie appellee en commun langage des musiciens une quinte pour ce que la quinte note comparee a une autre ou regard d'elle fait ceste consonancie. (EVR. CONTY, Harm. sphères H.P.-H., c.1400, 46). |
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| 8 | Car se deux est double a un et trois est sesquialtere a deux, il convient que trois soit treiple a un. Et c'est ce que les musiciens communement appellent quinte sur double. Et ainsy le voit on en nostre game se nous ensamble comparons les sons de ga-me-us et de de-la-sol-re. (EVR. CONTY, Harm. sphères H.P.-H., c.1400, 47). |
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| 9 | Car tout ainsy que deux vient aprés un et que deux comparez a un fait proporcion double dont dyapason vient, tout ainsy aprés deux sans nul moien vient trois, qui comparez a un font proporcion treiple dont la consonancie de dyapason composee et de dyapente est engendree, laquelle est appellee communement quinte sur double, comme il a esté dit. (EVR. CONTY, Harm. sphères H.P.-H., c.1400, 58). |
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