| 10 exemples |
| 1 | SECOND CURÉ. (...) pour ma saisine exercer De ceste eglise possesser, Dont mon prelat m'a fait curé... (Mir. parr., 1356, 18). |
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| 2 | ...et n'y avoit lors à Paris aucun evesque ou prelat, fors l'arcevesque de Sens (FAUQ., II, 1421-1430, 8). |
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| 3 | Item, IX escuelles faictes pour servir à prelat, en maniere de petis plats, pesant ensemble XXIIIJ livres (FAUQ., III, Pièces diverses, 1438, LXXIV). |
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| 4 | ...monseigneur l'evesque, la Dieu mercy, est le plus convoiteux prelat de ce royaume (C.N.N., c.1456-1467, 540). |
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| 5 | Le novice ne puet vouer sans la licence de son pere, abbé et prelat. (Sacr. mar., c.1477-1481, 52). |
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| 6 | Or avint en son temps que un qui avoit nom Postumius estoit consule et aussi estoit il prestre ou temple de Mars le dieu de bataille. Si fu ordené par le senat que celi Postumius yroit en Affrique pour faire guerre encontre les anemis de Romme, mais pource qu'il estoit prestre il volt avoir congié de Metellus son prelat, lequel congié Metellus ne li volt donner... (SIM. HESDIN, Val. Max., 1375-1383, I.1.2, glose, f° 6b). |
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| 7 | Je vendray dire ma sentence Ou si non en mon absence G'y commectray ung lieutenant Qui sera gentil et plaisant Et amoureux, ainsi m'ai Dieux, Qui sera [...] tenant le lieu De [viron] comme(nt) ung vray prelat. (Est., p.1460, 26). |
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| 8 | ...et est multitude naturelement encline a estre gouvernee par un homme ou par .I. lignage excellent en vertu qui soit prelat desus la policie. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 163). |
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| 9 | Car se un prelat ou prince ou autre actribue a soy ou distribue a autres des biens et honeurs communs autrement que selon la proporcion de la dignité et souffisance des personnes, soit pour lignage ou pour amistié ou pour autre faveur, il fait mal et injustice, si comme il fu dit ou .XIXe. chapitre du quint livre et declairié en la glose. (ORESME, E.A.C., c.1370, 461). |
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| 10 | Et dist, sur ce requis, que lesdites parolles il dist lors ausdiz mons. Le Begue et clerc dudit maistre Pierre Fresnel, pour ce qu'il cuidoit que quant un prelat est prononcié en son estat, que jamais il ne feust muez (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 522). |
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