| 9 exemples |
| 1 | ...le jour de la fin (...) est l'issue de toutes afflittions et miseres. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 42). |
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| 2 | O charoingne orguilleuse ! O sac plain de fiens ! Pourquoy te esleves tu ? Se toutes tes miseres ne souffisent a toy humilier, regarde, je te prie, l'umilité de ton roy, de ton Dieu et ton Seigneur (GERS., Noël, p.1404, 295). |
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| 3 | ...comment icelui homme Jhesus print toutez les miseres de humainne nature fors que pechié, qui fait l'omme miserable et povre (CRAP., Cur Deus, De arrha B.H., c.1450-1460, 206). |
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| 4 | Tu as eu en ceste tierce partie triple remede que Dieu nous a donne contre nos enfermetez et miseres humaines pour finablement paruenir a plaine et parfaicte sante. (CIB., p.1451, 188). |
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| 5 | Et aucuns convertissoient en serpens un ou pluseurs jours la sepmaine. Et dit le dit Gervaise qu'il creoit que ce soit par aucuns meffaiz secrez au monde et desplaisans a Dieu pourquoy il les punist si secretement en ces miseres que nulz n'en a congnoissance fors lui. (ARRAS, c.1392-1393, 4). |
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| 6 | Et toutesvoiez celuy jour fut vendu a Romme le champ ou il seoit, et, par une esperance non froissee entre si desesperables miseres, dedens lez murs assiegés, entre les vaincus, se trouva l'acheteur du camp couvert d'armez du vainqueur (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 138). |
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| 7 | ...c'est de la mort du très preulx, hardi et vaillant prince le duc Jehan de Bourgoingne, occis et murdry par ennemis reconseillez au lieu de Monstereau, en la presence et soubs le povoir de monseigneur Charles de France, daulphin de Viennois, et dont tant de maulx, tant de miseres, de povretez, de murdres, d'efforcemens, d'estorcions et de griefz sont advenuz ou royaulme de France, que ung million d'hommes en sont mors, deux millions de mesnaiges perduz, et tant de terres en sont demourées sans fruict et sans labeur, qu'elles assemblées souffiroient pour faire ung bon royaulme de grande et fertille reuve (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 196). |
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| 8 | Amalios, le souverain astrologien à Romme, predist la venue des Sennois en France et la captivité de Romme, excepté Capitolium, et les grandes miseres qui advindrent aux Rommains environ ce temps. (SIMON DE PHARES, Astrol., c.1494-1498, f° 51 r°). |
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| 9 | Mais l'en ne doit pas prendre vivre ne entendre ce que dit est de mauvaise vie et corrumpue par vices, ou de vie qui est en tristeces et miseres (ORESME, E.A., c.1370, 487). |
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