| 11 exemples |
| 1 | Si ai je alé, venu et langagié. (FROISS., Rond. B., c.1365-1394, 57). |
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| 2 | Il entrèrent en parlement, et parlementèrent par trois jours sus l'estat et ordenance de ce roy dan Piètre d'Espagne qui estoit et se tenoit toutdis presens en mi le parlement, dalés le dit prince, son cousin, qui parloit et langagoit pour lui, en coulourant ses besongnes. (FROISS., Chron. L., VI, c.1375-1400, 204). |
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| 3 | Et vault autant à dire Allobrogiens, selon que le interpretent messieurs les clercs, comme mal langaigé ou mal parlans (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 44). |
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| 4 | Et me samble que cil baron d'Escoce leur dissent, et aucun chevalier autre, ensi que on bourde et langage d'armes ensamble : "Signeur, vous avés veu la manière et condicion de nostre païs, mais vous n'avés pas veu toute la poissance." (FROISS., Chron. R., XI, c.1375-1400, 176). |
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| 5 | Mais du principal [Hanibal], que je treuve En Cartage (...) Est bien raison que j'en lengage (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 212). |
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| 6 | Pour quoy pry ceulx qui m'ont oy Langagier, quant pieça j'estoye Jeune, nouvel et plain de joye, Que vueillent excusé m'avoir. (CH. D'ORLÉANS, Ball. C., c.1415-1457, 119). |
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| 7 | Sire, ce dist Brulant, riens n'y vaut langagier (Jourd. Blaye alex. M., a.1455, 798). |
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| 8 | Quant est de l'oÿr lengaiger, Nous en sommes tous endurcis (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 421). |
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| 9 | Et s'assamblèrent en ce propre jour par divers troppeaux, disans l'un à l'autre qu'ilz estoient trahis, et que riens ne leur estoit entretenu de chose que on leur euyst promis. Et aussy qu'ilz perdoient chascun jour leurs gens, et n'y mettoient les nobles nulle provision. Et finablement, ilz langagèrent tant ensamble que en fin, non obstant les remonstrances qui leur furent faites de leurs capitaines, ilz conclurent d'eulx deslogier et retourner en leurs pays. (MONSTRELET, Chron. D.-A., t.5, c.1444-1453, 253-254). |
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| 10 | Ensi et autres parolles langagoient li Englès parmi Engletière, et dissoient que les coses ne demorroient point en ce point : on poet bien et doit supposer que c'estoit tout par envie. (FROISS., Chron. R., XI, c.1375-1400, 86). |
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| 11 | Il croit par adulacion Me abatre par son langaiger, Mais il ne scet pas le danger Que je luy pourchasse a oultrance, Car des gens d'armes a puissance M'en vois querir pour le charger. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 660). |
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