| 11 exemples |
| 1 | PATHELIN. Comment se porte marchandise ? S'en peult on ne soigner ne paistre ? LE DRAPPIER. Et, se m'aïst Dieu, mon doulx maistre, Je ne sçay ; tousjours "hay avant !" (Path. D., c.1456-1469, 58). |
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| 2 | Je cloche, Maistre, je ne puis hay avant. (GRÉBAN, Pass. J., c.1450, 142). |
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| 3 | JOUAN. (...) Baisez moy ? AFFRICQUEE. Ho ! qu'on ne me touche ! Autrement je me courceroye. JOUAN. Hé, belle dame... AFFRICQUEE. Hay, hay, hay ! JOUAN. Ha ! m'amyë, ung tour de groing. AFFRICQUEE. Hay, hay, la teste ! Des hommes ait on malle feste. (P. Jouh. D.R., a.1488, 25). |
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| 4 | Il porte ung fardeau si pesant Qu'a pou s'il puet plus hay avant, Mais va tout courbé soubz le faiz. (GRÉBAN, Pass. J., c.1450, 324). |
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| 5 | ...Puis leurs chevaulx si las, si agravez Qu'a peine estoit nul qui peust hay avant. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 280). |
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| 6 | AFFRICQUEE. Tirez plus bas ma gorgerette (...) Sarrez moy (...) Sarrez, sarrez (...) Jusques au dernier clou. JOUHAN. Je n'ose. AFFRICQUEE. Hay ! hay ! JOHAN. Et se elle rompt ? AFFRICQUEE. Et, elle fera ung estront, N'en desplaise a la compaignie (P. Jouh. D.R., a.1488, 23). |
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| 7 | JOHAN. (...) Mais comment vous estes esmeue ! Je cuydoie que fussiez perdue, Par ma foy, sans autre malice, Si vous voulez riens que je puisse, Je suis prest a faire debvoir. JEUNE AFFRICQUEE. Hay, hay ! JOUHAN. Que voullez vous avoir M'amye, ma doulce rassotee ? AFFRICQUEE. Sus, sus, que soye frotee Doulcement, ung peu au front, Malade suis. (P. Jouh. D.R., a.1488, 36). |
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| 8 | FINE. Et je regnye quartes et bros S'il n'y en a plus de dix mille [des sots, en cette ville]. SOTIE. Plus de dix mille ? FINE. Hay, par saint Gille, Il y en a plus que de ras, Qui ont la teste aussi subtille Qu'ung veau natif au mardy gras. (Sots triumph., c.1475, 35). |
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| 9 | Et quant Remond la voit [Mélusine avec sa queue de serpent], si fu moult doulent. Hay, dist il, m'amour, or vous ay je trahie par le faulx enortement de mon frere, et me sui parjurez envers vous. Lors ot tel dueil a son cuer et telle tristece que cuer humain n'en pourroit plus porter. (ARRAS, c.1392-1393, 242). |
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| 10 | Mais, quant ne treuvent que le corps, Sanz le chief, trop sont esbahi. Adont cryent : "Haÿ ! Haÿ !..." (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 227). |
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| 11 | LE CAPPITAINE. Hay, tais toy et n'en dis plus mot. Tu gastes tout, maulvais garson... (Sots mal., c.1480, 80). |
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