| 5 exemples |
| 1 | Item, l'en deffend oultre a tous marchans de bestail, bouchers, basconniers et autres, de quelque estat en condition qu'ilz soient, qu'ilz ne soient si osez ny hardiz de aller ou envoyer au devant des marchans amenans bestail ou marché de Paris, pour icelluy enerrer, berguigner ou acheter sur les chemins et destroiz des passaiges d'entour la prevosté et viconté de Paris (Mét. corp. Paris L., t.1, 1491, 63-64). |
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| 2 | Que l'en puist la vielle escorchier Qui les vendit, qui les enerre [les tripes] ! Chascuns veult des trippes mangier. (DESCH., Oeuvres R., t.7, c.1370-1407, 12). |
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| 3 | [Défense est faite aux marchans d'aller au-devant des marchandises qui viennent pour la foire du Lendit] ...pour ycelles barquignier ["marchander"], enerrer ne achetter, soubz quelque fourme de parole que ce soit (Ordonn. rois Fr. S., t.8, 1399, 324). |
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| 4 | Item, l'en deffend semblablement à tous hostelliers et taverniers de ceste ditte ville qu'ilz ne soient sy osez ou hardiz d'acheter ou enerrer aucunes desdittes denrées en leurs maisons, mais s'aucunes en veulent acheter, les facent premièrement porter et mener par lesdiz marchans esdittes places et lieux, sans les acheter en leursdictz hostelz, ne les souffrir vendre, ne barguigner en leursdittes maisons (Mét. corp. Paris L., t.1, 1491, 345). |
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| 5 | Il vouldroit dès lors ta richesse [ton fils] Et que tes corps fust enterrez, Dès qu'il est de femme enerrez, Car amour descent aux enfans Des peres, beau filz, or m'entens: L'amour aux peres ne remonte Des enfans. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 73). |
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