| 15 exemples |
| 1 | Comment le roy de France vint d'Angleterre à Calais, et de l'emprumpt pour le premier paiement de la raençon du roy dessus dit. (Chron. Jean II Ch. V, D., t.1, c.1375, 13). |
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| 2 | ...disant (...) qu'il convenoit qu'il parlast à Thibaut La Loge et autres marchans de la ville de Troyes, dont il est nez, affin que d'iceulx il peust avoir ou recouvrer, par don ou emprunt, argent pour soy vivre. (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 454). |
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| 3 | Duquel dit l'apostre que, comme nous n'aions point en ce monde de demeure fors par emprunt, est nostre cité pardurable ou ciel, de laquelle posseder devons singulierement curer comme de nostre perpetuel heritage. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 44). |
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| 4 | ...si d'adventure le mary se servoit aucunesfoiz des aultres membres, ce n'estoit que par maniere d'emprunt, car ilz estoient a son amy par le don de sa dicte femme. (C.N.N., c.1456-1467, 318). |
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| 5 | Toutes voies, il considera (...) que li courechiers ne li pooit riens valoir. Si en fist milleur semblant qu'il peut, par emprunt. (FROISS., Chron. L., I, c.1375-1400, 144). |
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| 6 | Beau nieps, dist le roy Perceforest, se les Rommains exillerent la Grant Bretaigne, vanter ne se peuvent fors de la victoire, car tellement s'y pourterent les Bretons que tous y moururent fors moy qui ne vis que par emprunt, comme vous verrez. [Le roi leur montre ses blessures, toutes très graves] (Percef. IV, R., c.1450 [c.1340], 1005). |
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| 7 | Si tu veux soustraire le nombre B [2347] du nombre A [23001], tu dois commencier aux derrenieres figures et pour ce que la derreniere figure de B vault sept et la derreniere de A vault un, pour tant il faut emprunter dix a la figure d'aprés (...) et mectre le dix que tu as empruntéz avec un que tu avoies par devant, qui font onze, desquelz onze tu osteras sept, le quelx tu ne pouoies oster par devant : et ainsi demourront quatre les quelz tu figureras en lieu de la figure de un. Oultre olus la seconde figure de A laquelle vault .IX. a cause de l'emprunt devant fait, et ainsi demourront cinq, lesquelx tu figureras en son lieu. (LEGRAND, Archil. Sophie B., c.1400, 247). |
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| 8 | Se tu es riche et puissant et tu as assez et largement et te doubtes que ton avoir ne te doie faillir, et pour ce tu ne donnes quant il est temps et neccesité aux povres, ou quant tu ne rens ce que tu as de l'autruy, soit par emprunt ou autrement, mauvaisement acquis, tu peches en avarice (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 33). |
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| 9 | MERCURE. Qui fait venir susides, empruns, tailles, Mouver guerres et susciter batailles, Et aux povres touldre oves et boves, Fors seulement le peché des mauvais ? (Cene dieux, c.1492, 119). |
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| 10 | Et de l'enprunt que li rois d'Engleterre fist et dou prest aussi, il bailla lettres autentiques, seelees dou seel le roi et de pluisseurs barons d'Engleterre qui la estoient, en tesmongnant et en aprouvant les lettres a veritables (FROISS., Chron. D., p.1400, 450). |
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| 11 | ...oncques pour tant n'y fut fait emprunt aux bourgois, ne taille mise sur peuple (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 162). |
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| 12 | ...chascun scet que, en temps de guerre, en cas de necessité, il est loisible de faire tailles et empruns (FAUQ., I, 1417-1420, 32). |
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| 13 | ...[le roi] se trouva fort chargié de gens de guerre, pour lesquelz apier de leurs diz gaiges et souldées lui convint finer de grant somme de deniers, car il ne recevoit riens d'aucunes villes sur lesquelles lesdiz gaiges estoient assignez, qui estoient tenues et usurpées par aucuns princes, qui ne vouloient riens souffrir estre cueilly dudit paiement en leurs pays, fut contraint de faire emprunt d'argent sur plusieurs officiers et autres de la ville de Paris, ausquelz de par lui fut demandé argent à prester (ROYE, Chron. scand., I, 1460-1483, 71). |
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| 14 | ...vous avons quictée la somme de mille escus que nous deviés de reste de IIIm escus, à quoy aviez esté imposez pour vostre porcion de l'emprunct (Lettres Louis XI, V., t.4, 1469-1472, 315). |
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| 15 | ...nous est force et necessité urgente pour la conduicte de nostredicte armée et recouvrement du reste de la duché de Bretaigne et autres affaires, de recouvrer promptement par emprunct de noz bons et loiaulx subgectz grans sommes de deniers (Lettres Ch. VIII, P., t.3, 1490-1493, 148). |
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