| 12 exemples |
| 1 | La dame l'ordena com ung enfant gentis, De ciuncquant chevaliers d'escarlatte vestis, Et C tous escuyers de rouge et vert partis (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 5-6). |
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| 2 | ...si a esté le royaulme plus taillié et plus grevé de telz choses non accoustumées puis le couronnement du roy, que il n'avoit esté chinquante ans en devant (FROISS., Chron. M., XIV, c.1375-1400, 25). |
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| 3 | Et, pour donner assault par mine, quant vous verrez vostre opportunité, vous convient avoir cent cinquante piez de chièvre, seize joues de pont, vingt et quatre eschielles doubles grans et fortes (BUEIL, II, 1461-1466, 48). |
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| 4 | ...de cinquante a soixante mille (LA VIGNE, V.N., p.1495, 286). |
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| 5 | ...[Jehan le Lorrain] aagé de cinquante ans ou environ (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 550). |
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| 6 | ...et le manteau dessus dit il avoit acheté, demi-an avoit ou environ, et samblablement ledit chapperon, en ladite ville de Troyes, la somme de cinquante souls par. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 214). |
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| 7 | Et fist demourer en la valee tout le troussage et le sommage, et garder a cent hommes d'armes et a cinquante arbalestriers. (ARRAS, c.1392-1393, 111). |
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| 8 | ...eut ou chastiel de Windesore joustes solempneles de chienqante chevaliers et de chienqante esquiers dedens. (FROISS., Chron. D., p.1400, 597). |
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| 9 | Cedit jour, le graphier a delivré et baillié cinquante frans sur le salaire de la façon des aumoires que l'en fait en la Tournelle à Guillaume Cirasse, charpentier ou hucher (BAYE, I, 1400-1410, 87). |
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| 10 | Simon, on dit Q'un usurier deux debteurs avoit. L'un cinq cens deniers luy devoit, L'aultre cinquante a payer (Pass. Auv., 1477, 153). |
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| 11 | Comme dient les Hebrieux, fut ung autre de ce nom, qui enseigna à Ptholomée Sother à naviguer à XV rames et par avant n'en avoit que deux, trois, six, X et XII. Touteffois de partout se multiplia que Ptholomée Philadelphe depuis raviga [l. naviga ?] à XL rames et encore depuis Ptholomée Philopater à cinquante. Ainsi tous ars se multiplient. (SIMON DE PHARES, Astrol., c.1494-1498, f° 31 v°). |
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| 12 | Durans ces choses, le roy, qui estoit en Bretaigne à tout plus de cinquante mil combatans, n'y fist que peu ou rien, pour ce qu'il fut mené de belles paroles et par ambassades, au moien de quoy il cuidoit avoir bonne pacificacion et accord avecques ledit duc de Bretaigne, sans effusion de sang ne perdicion de ses gens de guerre, que tousjours il a fort craint (ROYE, Chron. scand., I, 1460-1483, 283). |
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