C.N.R.S.
 
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CHANCELLERIE
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11 exemples
 1 ...l'onneur que avez eu au fait de vostre promotion a l'office de chanceillerie que a esté par l'ordonnance du roy nostre souverain seigneur (JUV. URS., Nescio, 1445, 441).
 2 Aprez la Chancelerye fault tenir le Conseil (JUV. URS., Nescio, 1445, 447).
 3 ...et tout passe par la court de la chancellerie chelz le roy comme en France. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 258).
 4 Et d'abundant renouvelloient lettres (...) et les faisoient toutes sus une datte pour estre mieulz seures et plus approuvées, desquèles je euch depuis le copie par les registres de le cancelerie de l'un roy et l'autre. (FROISS., Chron. L., VI, c.1375-1400, 53).
 5 ...ordonnons que d'ores en avant nul ne soit receu comme advocat en aucunes de noz cours de la chancelerie de noz bailliages, de noz auditoires et de nostre parlement ou d'autres noz commis, s'ilz ne sont esleuz ou esprouvéz comme souffisans et expers advocas par noz diz chancelier et bailliz, et l'election ou aprobacion du chancelier souffira en l'une de ces cours pour toutes les autres (Cout. bourg. glosé P.M., c.1380-1400, 71).
 6 Maistre Dreue Porchier, pour ses gaiges de nottaire de VIIxx X jours, en ce terme, qu'il a servis en la chancellerie, en la chambre des généraulx devers le conseil. (Comptes hôtel rois Fr. D.-A., 1383, 202-203).
 7 Ce jour, maistre Jehan Campion, secretaire de monseigneur le Dauphin, apporta à la Court les lettres seellées du grand seel de la Chancelerie du Roy (FAUQ., I, 1417-1420, 112).
 8 ...que toutes les lettres de grace, de justice, de finance et autres qui desjà ont sorty leur effect et qui ne seroient contraires ou prejudiciables à l'ordonnance de la dicte paix, expediées par la chancelerie de nostre dit filz soient vallables (Doc. Poitou G., t.7, 1419, 342).
 9 Sur quoy a esté conclu que on parlera premierement à ceulz de la Chancelerie, afin que lesdictes lettres soient corrigées et mises en forme deue. (FAUQ., II, 1421-1430, 333).
 10 Comme, puis la redicion fete de cestuy pais et duchié de Normendie, messire Guillaume Plessart, prestre, curé de la grant porcion de l'église de Moreville, se fust traict devant le Roy nostre sire en sa chancellerie, et, par son sureptis donné à entendre, eust obtenu lettres vers et a l'encontre de messire Guillaume le Rendu, prestre, curé de la petite portion dudit lieu de Morville (Cartul. Hôtel-Dieu Cout. L., 1451, 271).
 11 Et entre autres y fist et crea maistre Pierre L'Orfevre, seigneur d'Ermenonville, et Nicolas de Louviers, conseillers en ladicte chambre, et maistre Jehan Baillet, maistre des requestes et raporteur en sa chancellerie. (ROYE, Chron. scand., I, 1460-1483, 17).
DMF 2020Robert Martin
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