8 exemples |
1 | DEUXIESME SERGENT. (...) or le lyons, amis, Si qu'il ne puist n'avant n'arriére Soy mouvoir en nulle maniére Au feu sentir. PREMIER SERGENT. Soit : a ce me vueil apartir. (Mir. st Lor., 1380, 189). |
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2 | Sire, mon braz deslieray, Si verrez dont elle [ma main] parti Quant de la coper m'aparti. (Mir. fille roy Hongrie, c.1371, 86). |
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3 | BERTHE. Certes de dueil le cuer me part Ce departir. PREMIER CHEVALIER FRANÇOIS. D'aler nous convient appartir. (Mir. Berthe, c.1373, 160). |
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4 | Besoing tout premier m'assailly, A moy prandre point ne failly ; De ses bras si fort me destraint Que j'en eu le corps si estraint Qu'à poi le cuer ne me party. Nécessité lors s'apparti [Éd : «se montrer»] Moult angoisseuse et plaine d'ire, Par le col me print sans mot dire (JACQUES BRUYANT, Voie pauvreté richesse P., 1342, 5). |
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5 | Sire, j'ay pensé qu'appartir Nous deussions, car il me semble Bon qu'alissons nous deux ensemble Encore au conte (Mir. st Guill., c.1347, 41). |
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6 | Michiel, il te fault appartir. Va t'en tantost par my ces rens Conforter mon ami Lorens (Mir. st Lor., 1380, 182). |
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7 | Trestut les meultz qe je puisse faire, C'est qe m'aparte de sa terre. (HÉRAUT CHANDOS, Vie Prince Noir T., c.1385, 117). |
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8 | ELIPHAT. (...) Hellas ! Messeigneurs, je le voy [Job]. Or regardez, quelle pitié ! BALDACH. Le cueur m'apart [l. me part ?] en verité Quant je regarde sa douleur. (Pac. Job M., c.1448-1478, 338). |
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