| 21 exemples |
| 1 | Et estoient pour le temps les estudians introduiz en grec et a Romme et aillieurs, et les sciences communelment bailliees en grec (ORESME, E.A., c.1370, 101). |
|
| 2 | Et, ce fait, fu ledit Breton fait despouillier tout nu, mis en laditte question sur le petit et le grant tresteau en la maniere acoustumée, et estandu ; et pour ce que, illec ne aillieurs, ne volt autre chose congnoistre que fait avoit par devant ledit mons. le chancellier et autres messeigneurs du grant conseil du roy... (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 553). |
|
| 3 | Et, sur ce, tous respondirent : "Sire, nous sommes tous prestz d'aller là ou ailleurs où il vous plaira..." (BUEIL, II, 1461-1466, 170). |
|
| 4 | ...ilz le navrerent sur la main et lui firent plusieurs playes, tant sur la teste comme aillieurs (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 223). |
|
| 5 | A ce propos pourroye reciter histoires sans nombre escriptes tant es rommains et cronicques des anciens que ailleurs. (BUEIL, I, 1461-1466, 120). |
|
| 6 | A quoy le dit galant pour ses dupliques disoit que de sa dite nourice n'avoit cure et que, quant il vouldroit, il trouveroit bien alieurs a jouer, en concluant come dessus. (MART. D'AUV., Arrêts Am. R., c.1460-1466, 147). |
|
| 7 | Mais en femmes d'onneur et nom Franc homme, se Dieu me sequeure, Se doit emploier, ailleurs non. (VILLON, Test. R.H., 1461-1462, 60). |
|
| 8 | Et s'aucun, dont n'ay congnoissance, Estoit alé de mort a vie, Je vueil et lui donne puissance, Afin que l'ordre soit suyvie Pour estre mieulx parassouvye, Que ceste aulmosne ailleurs transporte (VILLON, Test. R.H., 1461-1462, 141). |
|
| 9 | ...mais ce seroit bien fait que le roy vous deffendist que ne sellissiez aucunes lettres pour commettre causes aillieurs que devant les ordinaires (JUV. URS., Nescio, 1445, 540). |
|
| 10 | Touteffoiz y avoit aucuns seigneurs entre les autres qui en furent bien desplaisans pour ce qu'ilz vouloyent que le roy traictast ailleurs a leur plaisir et avantaige. (Rambaux Frise S., c.1450-1475, 68). |
|
| 11 | Nous retournerons cy d'un accort ; En terre les mectrons parfon. D'alheurs, nulles gens n'y viendront, Ou ce seroit grant adventure. (Pass. Auv., 1477, 233). |
|
| 12 | Ledit chevalier alleman leur fit aussi les comptes de pluseurs grandes et haultes besongnes que [messire Jehan de Rebremettes] faictes avoit en Barbarie (...) ; a quoy toutevoyez le bon chevalier ne pensoit guieres a celle heure car avoit bien ailleurs a entendre. (CHASTELL., Chron. IV, D., c.1461-1472, 165). |
|
| 13 | ...et ensamble se partirent d'illec en entencion de venir à Paris, et illec, ou aillieurs où il eust peu trouver son prouffit d'iceulx chevaux, les vendre. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 101). |
|
| 14 | En sa chambre elle s'est retraicte Pour son habillement changer. El veult que la curee soit faicte Avant que boyre ne manger. Ailleurs elle ne peult songer. (BRÉZÉ, Chasse T., c.1481-1490, 45). |
|
| 15 | A brief parler, si fort s'acrurent Que aux plus grans princes du monde heurent Alïances et marïages A leur enfens de haulx courages, Dont il est issu, n'en doubtons, De beaulx et de nobles gittons, En France et alieurs, n'en doubt mie. (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 74). |
|
| 16 | Exemple que j'ay veu advenir de mon temps, a Paris et aillieurs y a hommes mariez publiques adulteres (JUV. URS., Nescio, 1445, 501). |
|
| 17 | De pluseurs bonnes praticques de guerre pour combatre ses ennemis estans en bataille à cheval, en passaiges estroits et ailleurs. (BUEIL, I, 1461-1466, 158). |
|
| 18 | Tu devries bien lougis changer Alheurs qu'advec moy, mon seigneur. Ha, las, je suis ung grant pecheur, Indigne de ta companie. (Pass. Auv., 1477, 127). |
|
| 19 | Vous [les disciples de Jésus] advés grace de comprendre Le rëaulme de paradis. J'ay alheurs paraboles mis, Lesqueulx voyans aveugles sont, Et en ouyant sourtz deviendront. (Pass. Auv., 1477, 137). |
|
| 20 | Et furent lesdittes parolles tenues tant en la chambre du roy, à Aigueperse, que aillieurs (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 189). |
|
| 21 | Mais, par tout ailleurs, chascun revendra à ses terres et héritaiges, comme dit est, sans ce que pour démolicion ou empiremens, gardes de place ou réparacions quelconques, on puist riens demander l'un à l'autre. (Doc. 1435. In : MONSTRELET, Chron. D.-A., t.5 c.1444-1453, 176). |
|
