C.N.R.S.
 
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     ACCOUTRER     
FEW II-2 *consutura
ACCOUSTRER, verbe
[T-L : acostrer ; GDC : acoutrer ; FEW II-2, 1099b, 1100a : *consutura ; TLF : I, 441b : accoustrer]

I. -

Empl. trans. dir.

A. -

[Le compl. d'obj. désigne une chose concr.]

 

1.

"Pourvoir de ce qui est nécessaire"

 

a)

[Une ville, une construction, une partie d'une construction, ...] : ...la (...) il [Jehan de Paris] trouva ses fourriers qui avoient acoustré les logis le plus sumptueusement que l'on pourroit deviser, car les cuysiniers et maistres d'hostelz alloient tousjours devant a celle fin que tout fut prest quant il seroit arrivé (Jehan de Paris W., 1494-1495, 33). ...de là, considerant que Lion estoit lieu assez humain, me i retiré et là basti une maison assez près de Saint Jehan et pensé y resider et y acoustré une estude en laquelle je mis IIc volumes de livres ["aménager une bibliothèque"] (SIMON DE PHARES, Astrol., c.1494-1498, f° 156 v°). Car il y a l'une des belles places, Des gorgïases et des bien acoustree De grosses tours, rivieres, boys et chasses Qu'on saiche point en toute la contree (LA VIGNE, V.N., p.1495, 178). ...et est ung trés beau logis et aussi bien acoustré de toutes choses que palais ne chasteau que je vis jamais. (Lettres Ch. VIII, P., t.4, 1495, 151). Icy doibt avoir ung aultel bien acoustré de toutes choses, auquel sainct Martin viendra pour chanter messe. (LA VIGNE, S.M., 1496, 473).

 

-

Mal accoustré. "En mauvais état" : [Desir vit] une petite maisonnete couverte de chaulme, mal acoultree et toute espaletree (RENÉ D'ANJOU, Cuer am. espris W., 1457, 47).

 

-

"Orner, décorer" : ...et furent [le roi et ses gens] bien joyeux de veoir celle belle ville et si bien acoustree comme elle estoit, car oncques n'avoient veu telles besongnes. (Jehan de Paris W., 1494-1495, 12). ...sa messe fut chantee En la chappelle du pape, tout autour De fin drap d'or richement acoustree (LA VIGNE, V.N., p.1495, 236). ...la ville (...) estoyt, par toutes les rues ou il [le roi] devoit passer, tendue, tapissee, garnie et acoustree le plus sumptueusement qu'on avoit sceu faire de grans tapisseries et autres choses moult belles. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 324). Et, à la vérité, si me semble la plus reverente cité que j'aye jamais veü aux choses ecclesiasticques, et qui ont leurs eglises myeulx parées et acoustrées (COMM., III, 1495-1498, 248).

 

.

P. anal. : Or n'avoit encores le jeune duc de Bourgongne fait sa complainte à bon escient au roy françois son seigneur et beau-père, pour cause que à Troyes et autre part il ne trouvoit le royal siége garny et acoustré de conseil et de seigneurie comme il appartenoit au cas. [La présence de hauts dignitaires autour du roi conférait plus de poids aux paroles du duc] (CHASTELL., Chron. K., t.1, c.1456-1471, 194).

 

b)

[Une pièce d'artillerie] : Et fust accoustrée l'artillerie pour les servir à ce passaige et fait les bandes et les rolles de ceulx qui devoyent passer (COMM., I, 1489-1491, 64). Et de fait il les [les faulcons d'artillerie] acoustra et fist acoustrer comme bien l'entendoit, tout pres a tirer. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 302).

 

c)

[Un navire] "Gréer, équiper" : ...et luy feïst faire finance de trois ou quatre grosses nefz, qu'il luy fist accoustrer ou port de la Vere en Hollande (COMM., I, 1489-1491, 212). Patrons de mer, pillotes, capitaynes, Contremaistres, maistres et mariniers, Acoultrez tous voz carvelles haultaynes, Fustes et nefs, galees maritaynes (LA VIGNE, Ress. chrest. B., 1494, 129).

 

2.

"Installer, mettre en place, ajuster" : ...Colin Grosse Teste et Perrinet Teste sans Servelle, manouvriers de bras, demourans à Paris, pour avoir par chacun d'eux vacqué par l'espace de deux jours, pour mettre hors d'un bastel certaine quantité de carreaulx ["pavés plats"] et les avoir acoustrés ès lieux où ils ont esté mis (Comptes Paris M., t.2, 1458-1460, 186). Je suis maintenant viel et suis tenu bien aise, Pour l'amour du bon roy ne faiz rien qui desplaise Au maistre a qui je suis et me garde si cher Qu'i[l] me fait pain et cher pour mon vivre trencher, Coucher dedens sa chambre pres du feu chaudement, Paille et belle litierre acoutree nettement. (BRÉZÉ, Dits chien Souillard T., c.1483-1490, 58). Aucuns iours après se deliura par faute de fers mal accoutrés qui estoient trop largez. (BÉTHENCOURT, Canarien G., c.1490, 48). Quant il eut acoustré sa dicte perrucque, monta a cheval et se fist faire voye par les rues pour ce que bien lui sembloit que on le devoit veoir de toutes pars pour raison de la nouveauté de sa dicte perrucque. (TARDIF, Apologues R., c.1493-1498, 89).

 

-

"Ajuster (un vêtement)" : Mais si mal sa robe accoustra Que monstra son de profundis (MARTIN LE FRANC, Champion dames IV, D., 1440-1442, 169).

 

3.

"Préparer"

 

-

"Préparer [à manger]" : LE IIe GENTIL HOMME. A Dieu commant nostre souper ! Y sera tantost devoré. LE MOUNYER. Or sà, mon petit con doré, Qu'as-tu acoustré à repaistre ? (Gent. moun. T., c.1500, 368).

 

-

[Dans un cont. métaph.] "Confectionner, composer [une parure]" : Donc les sollers, pour en faire apparence En la parure que voullons accoutrer, L'un sera soing, et l'autre dilligence, En delaissant paresche et negligence, Dont moult de maulx on pouroit raconter. (LA MARCHE, Triumphe dames K.-B., p.1488, 7).

 

4.

Bien accoustré. "Bien fait, bien formé" : Jadis donques fut une ostruce qui estoit moult belle et de tout son corps bien decoree, qui avoit ses esles tres fortes et bien acoutrees, mais, toutesfois, en ses esles, deux penes tortues dont elle estoit moult triste et desplaisant. (COLART MANS., Dial. créat. R., 1482, 168).

B. -

[Le compl. d'obj. désigne une chose abstr.]

 

1.

"Organiser, monter, combiner [une action]" : Si alla Othon pou amprés par tout son royaume, ou il sejournoit en chescune de ses terres et seigneuries trois ou quatre jours pour y mieulx acoustrer et ordonner son fait, ce qu'il faisoit moult honnorablement et justement. (Rambaux Frise S., c.1450-1475, 85). Ceste embusche bien accoustrée, dès .III. heures du matin, .IIIIc. chevaulx bien en point acoeullèrent proyes à grant diligence, et le seigneur de Montigny tint la porte ouverte une bonne heure, tellement que entre .II. foeulletz y eubt pluseurs Flamengz ochis et en la ville meismes. (MOLINET, Chron. D.J., t.1, 1474-1506, 450). ...car le roy estoit trop puissant et avoit son fait bien accoustré et grandes intelligences ès pays dudict duc, et toutes parolles semblables de grant espoventement. (COMM., I, 1489-1491, 181).

 

-

"Composer [un ouvrage écrit]" : Et n'entens pas que ceste ma petite et mal acoustrée labeur se doibve appeler ou mettre ou nombre des cronicques, histoires ou escriptures faictes et composées par tant de nobles esperis (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 184).

 

-

"Effectuer, exécuter [un compte]" : ...le fait des molins est petitement inventerizé et tres mal acoudré (Comptes roi René A., t.2, 1461-1462, 232).

 

2.

"Disposer, arranger" : Car tel que on le puet deviser, S'est remoustrez [Amour] Et ses divers tours m'a moustrez, Biens et maulx ensemble acoustrez, Non pas petiz maiz tous oultrez. (CHART., L. Dames, 1416, 250).

 

-

Accoustré de qqc. "Plein de" : Mercure sieut le soleil assez prés, Il ceurt apprez, il est souvent en voye ; Son eslongier est de trante degrez ; Sans nulz regrectz, regards luy sont monstrez Bien accoustrez d'amours qu'y luy envoye ; Il compte, il roye, il chemine, il charoye, Fort bien s'arroye a furnir sa despense ; Le bon servant l'honneur du maistre pense. (MOLINET, Faictz Dictz D., 1467-1506, 378).

 

-

Mal accoustré. "Déréglé, désordonné" : Au souper des dieux sont entrees, Escriptes et enregistrees Les provisions impetrees Par raison contre vie humaine, Voz gloutonnies et voz ventrees Et façons tresmal acoustrees Ont esté veues et remonstrees En la cene des dieux desraine ["dernière"]. (Cene dieux, c.1492, 133).

 

3.

"Régler, mettre de l'ordre dans" : Guerre nous vault ung retraintif Pour serrer nos affections, Et pour reprimer le motif De nos folles conclusions. Tost acoustre ses passions Qui de disette attant l'assault ; Soussy chastre le cueur [trop] bauld. (GAGUIN, Passe temps oisiv. T., 1489, 387).

C. -

[Le compl. d'obj. désigne une pers.]

 

1.

Au propre

 

a)

[Souvent au part. passé, et en parlant de militaires] "Habiller" : Il fut monté et acoustré, Comme appartenoit a tel homme, Pour estre a l'empereur monstré (Vie st Eust. 2 P., c.1400-1450, 211). Dedens Grey, estoyent capitaines le grant Salezart de France, le seigneur de Charlieu et ung aultre nommé Gamages, accompaigniéz de .XVIIIc. hommes de guerre bien accoustréz et montéz de chevaulx de pris. (MOLINET, Chron. D.J., t.1, 1474-1506, 205). Luy estoit à cheval avecques les gens de sa maison et les plus grans de l'ost, les myeulx paréz et accoustréz qu'ilz povoient estre (COMM., I, 1489-1491, 117). ...ilz rencontrerent le gouverneur dudict pays avecq bien vingt cinq mille combatans qu'il avoit amassez, qui estoient fort mal acoustrez. (Jehan de Paris W., 1494-1495, 9). Le roy anglois ce partit iceluy jour d'Estempes et chevauchoit moult fort ; si luy dirent ses gens que devant eulx avoit une compaignie de gens moult bien acoustrez (Jehan de Paris W., 1494-1495, 27). Encore, la plus grant partie d'iceulx tres mal repeuz, les ungs malades, les autres mal montez, autres mal armez et mal acoustrez : car chascun n'avoyt pas chevaulx ne autres choses pour porter ou fournir a ses necessitez. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 289). LISON. Où l'avez-vous mise voyrement [votre robe] ? Je ne la trouves point icy. LE GENTIL HOMME. Vertu bieu, la perdray-je ainsi ? Me voicy bien mal accoustré. (Gent. Naudet T., c.1500, 294).

 

-

(Estre) accoustré de/en + nom de vêtement : Auprés estoient les princes comme Bananyas, filz de Joyade, richement appointé comme ung prince de chevalerie, Cerethi et Selethi, aultres seigneurs et conseilliers obaissans a la petition de ladite royne Bersabee. Les dessusditz et leurs gens bien acoutrez de tous habillemens. (Entrées roy. G.L., p.1485, 254). Aprés marcha la bende aux albardiers (...) Tous acoustrez en chaulse et en pourpoint D'une parure et des couleurs royalles. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 211). Et estoit ledit de la Gastine acoustré sur son harnoys d'une manteline d'orfavrerie. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 293).

 

-

Accoustrer/(estre) accoustré + compl. circ. indiquant un personnage : Et le roy avoit vestu ung sayon de drap d'or avecques une manteline de satin gris et violet en escharpe et bien sembloit estre acoustré en bon gendarme. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 299). Quant le dit jour pour faire les monstres fut venu, on fit crier a son de trompete que toutes gens ayans parsonnages dudit mistere s'assemblassent a l'eure de mydi en Lombardie, chascun acoustré selon son parsonnaige. (Doc. 1496. In : LA VIGNE, S.M., 1496, 119). Voz sagesses et voz vertus Present vous convient de monstrer, Priant le benoist roy Jhesus Qui luy plaise nous demonstrer Le preudoms digne d'acoustrer Icy pontifficallement [Le vêtement a ici une fonction symbolique : "conférer la dignité de pape à qqn"] (LA VIGNE, S.M., 1496, 395).

 

b)

"Parer" : Tout son chief fut acoustré, decoré De grosses perles et pierres precïeuses Comme rubiz, turquoises sumptüeuses (LA VIGNE, V.N., p.1495, 215). Aprés sortirent tous les principaulx enfans de Lion, montez, bardez, acoustrez de chesnes, bagues, joyaulx et autres singularitez (LA VIGNE, V.N., p.1495, 324).

 

c)

"Garnir" : [Un homme chauve] trouva façon et moyen d'avoir une perrucque fainte, laquelle il attacha subtillement sur sa teste. Quant il se vit ainsi acoustré de cheveulx, dist qu'il se tiendroit a la maison par aucuns jours (TARDIF, Apologues R., c.1493-1498, 89).

 

2.

Au fig. "Malmener, maltraiter" : Mais au dit lieu fut si bien acoustré, Et si soubdain des Françoys rencontré, Ce nonobstant ses espesses murailles, Qu'il y perdit bouge, bas et bouteilles (LA VIGNE, V.N., p.1495, 242). Pour ma puissance maintenant demonstrer, Vella Martin a tempter bien a poinct. Sans plus actendre, il le fault acoustrer Et luy jouer d'un gaillart contrepoinct. (LA VIGNE, S.M., 1496, 480).

 

-

Accoustrer qqn en sire. "Le traiter en nigaud" : JAQUINOT. C'est très bien dit, ma mere Jaquette ; Mais ce n'est rien dit à propos De faire ainsi tant d'agios. Qu'entendez-vous ? voyla la glose. LA MERE. J'entens bien ; mais je propose Que ce n'est rien du premier an [du mariage]. Entendez-vous, mon amy Jehan ? JAQUINOT. Jehan ! vertu sainct Pol, qu'est-ce à dire ? Vous me acoustrez bien en sire, D'estre si tost Jehan devenu. J'ay nom Jaquinot, mon droit nom : L'ygnorez-vous ? (Cuv. T., c.1475-1500, 45).

D. -

[Le compl. d'obj. désigne un animal] "Équiper, harnacher [un cheval]" : Si vint descendre en Normandie a quelque quatre vingts chevaulx acoustrez selon la mode du pays (Jehan de Paris W., 1494-1495, 20). A aller suis aspre et leger Pour errer vingt lieues le iour Nous auons desia prins bon tour Monseigneur et vous descendez Voz cheuaulx seront acoustrez Et allez deuers le sainct Pere. (Myst. st Martin K., a.1500, 291).

II. -

Empl. pronom.

A. -

[D'une chose]

 

1.

[Concr.] "Être préparé" : Je vous pry qu'à boire s'acoustre, Et me laissez ce grand sermon. [L'éd. comprend : «Je vous prie qu'on se prépare à boire»] (Colin loue dép. Dieu T., c.1485, 165).

 

2.

[Abstr.] "Se présenter, se disposer, s'arranger" : Or prens en gré, chevalier honnoré Dont Apollo s'est tant enamouré Que sa faveur en ta langue se monstre : En faiz d'honneur as si bien labouré, Et haultz escriptz cogneu et savouré Que armes et lettres tout en ton corps s'acoustre ; L'un exequte ce que l'autre remoustre. (ROBERTET, Oeuvres Z., c.1450-1500, 107). ...en la matiere presente y a plusieurs choses qui bonnement ne se pourroient acoustrer en ryme si briefvement comme l'en pourroit faire en prose (LA VIGNE, V.N., p.1495, 281).

B. -

[D'une pers.]

 

1.

Au propre

 

a)

"S'habiller" : Le dimenche quant il eut bien disné Joyeusement sans point estre indigné, En ses habitz richement s'acoustra, Et dedens Napples pompeusement entra (LA VIGNE, V.N., p.1495, 250). Acoustrez vous bien et legierement D'abitz nouveaulx (LA VIGNE, S.M., 1496, 167).

 

-

"Se parer" : Il n'est que une femme mondaine Pour estre propre et mignonnette. Raison pourquoy ? elle prent peine A s'acoustrer et tenir nette. (Deux hommes deux femmes T., c.1500, 472).

 

b)

"Se préparer, s'équiper" : Si laisserons d'eulx a parler et dirons des heraulx qui sortirent de la cité, et vindrent vers leurs cinq cens hommes a cheval qu'ilz avoient laissez, lesquelz ne cesserent toute nuyt de eulx acoustrer pour l'endemain. (Jehan de Paris W., 1494-1495, 50).

 

c)

"S'installer" : De ces choses entreparlant, Malebouche en la sale entra. Franc Vouloir, le gentil galant, En la barbe le rencontra. Lors tout le monde s'acoustra. Chascun print place en l'auditoire Ou le dit champion monstra Visage prest a la victoire. (MARTIN LE FRANC, Champion dames I-II, P., 1440-1442, 77).

 

d)

S'accoustrer de qqc. "Se munir de" d'où "S'emparer de" : Saint Germain est la clef et le passage Ou passer fault (...) Et dont se doit saisir et acoustrer Qui au royaume de Napples veult entrer. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 245).

 

2.

Au fig.

 

a)

"Se disposer moralement, se préparer (à)" : LA SECONDE DEMOISELLE. Pencez, pencez de bien vous acoustrer : Vecy venir ce que desirez tant. LA MERE. De ma lyesse et joye demonstrer Mon povre cueur est maintenant contant. (LA VIGNE, S.M., 1496, 178). ABBE. Que chascun de nous tous s'acoustre Pour tantost ad ce cas pourvoir, Et que par raison on leur monstre Que debvons le sainct corps avoir. (LA VIGNE, S.M., 1496, 576).

 

b)

S'accoustrer de. "Se munir de, s'armer de" : Avant que soit la fin du moys de may, Vous me verrez sur ces chiens acoucter ; Et pour ce faire je me veulx acoustrer Pour sur les champs les aller rencontrer De grant couraige et fureur cordïalle. (LA VIGNE, Ress. chrest. B., 1494, 117).
 

DMF 2020 - Synthèse Jean-Loup Ringenbach

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