C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de xiiiie dans la Base des Partiels 

22 attestations 
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[1] le IIe jour de septembre, furent faictes generales cessations de tous faicts d'estudes et d'eschole et de predications et durerent jusqu'au jeudi XV d'octobre ensuivant, ouquel jour furent resumées les leçons et faicts d'eschole, mais non pas predications, lesquelles predications furent resumées le dimanche jour de Judica XIIIIe de mars ensuivant. (* *, 32).
[2] le IIe jour de septembre, furent faictes generales cessations de tous faicts d'estudes et d'eschole et de predications et durerent jusqu'au jeudi XV d'octobre ensuivant, ouquel jour furent resumées les leçons et faicts d'eschole, mais non pas predications, lesquelles predications furent resumées le dimanche jour de Judica XIIIIe de mars ensuivant. (* *, 32).
[3] le XIIIIe jour dud. mois de septembre, jour de la feste de l'Exaltacion Sainte-Croix (* *, 76).
[4] Il est escript ou premier livre des Machabés ou XIIIIe. chapitre comme les Juis orent confederation et aliances oveques eulz, et illeques sunt appellés Sparciatez. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 101).
[5] Ou XIIIIe. chapitre il traicte ceste question assavoir mon se ce est bien que toute la multitude ait l'election et la correction des princes. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 136).
[6] Et ce est contre la doctrine de ceste philosophie selon laquelle les lays sunt sus le prince fors en tant comme il peut dispenser par une vertu appellee epyeyke, non pas contre la lay mes a l'entencion du legislateur, en la maniere que fu dit ou XIIIIe. chapitre. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 160).
[7] Et pour ce, le princey des Romains est venu en aminuisant et appetizant depuis que le peuple translata ou donna au prince toute le posté, si comme il fu touchey ou XIIIIe. chapitre du tiers (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 178).
[8] Mes en commune policie et en aristocracie la multitude non pas la populaire mes la multitude et congregation universele de tous les princeys ou offices et des principalz citoiens a la souvereine domination et la correction ou alteration des particuliers princeys ou offices et le ressort ou cognoissance des tres grandes questions, et a elle appartient la reformation de la policie, et composer ou muer ou approver et accepter les lays, si comme il appert par ce que fu dit ou XIIIIe. et ou XVIIe. chapitres du tiers (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 274).
[9] "...Se doncques, Beau Filz," dist la royne, "tu entendras bien la substance de cestui point XIIIIe, et comment la liberte de ta dignite royale et de ta magnanimite en cestui cas est [est] blecie et villainement asservi, selon la deducion de la majeur cy dessus proposee, et de la mineur tellement quellement declairee, certainement, Beau Filz, tu cognoistras ta maladie..." (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.2, c.1386-1389, 365).
[10] Et ceste fust la sentence du tres renonmé Philosophe, ou quart de Pollitiques, ou XIIIIe chapitre, la ou il dist que touz ne sont pas dignes a estre princes, car tous eleüs ne lez sorciaux, c'est a dire lez prestres, n'en sont mie dignes. (Songe verg. S., t.1, 1378, 109).

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