C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de voys dans la Base des Partiels 

58 attestations 
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[1] Combien cuides tu que cest edifice doye durer puis que tu voys que le fondement, la pierre quarree et les pillers en sont et seront tost ostez (Horloge de sapience S., c.1389, 81).
[2] Raymon huche son filz Froymont, Bien vestuz fut, n'ot pas froit moult: "Froymon, dit il, enten ton pere. J'ay envoyé devers ta mere S'il lui plairoit a savoir mon, Se tu seras moynë ou non. De quoy el me laisse la charge De tout le fait, et le m'encharge. Et pour ce, Froimondin, voys tu, Se tu veulx, tu seras vestu. Mais de Maillierés sont testus Les gens ou veulx estre vestus, Si regarde un aultre monstier. Comment seroit a Marmonstier, Car il y a moult tres beau lieu?..." (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 204).
[3] Or voyons qu'elle m'a dit; Je voys mon esprit eslargent. Il me fault faire de l'argent De Guillaume et d'ung savetier, Et faire soulliers de Gaultier, Cartelez de oeufs et defourmaige [l. de fourmaige]. (Arq. P., c.1500, 419).
[4] Je voys a vous de belle tire. (Jehan A., 15e s., 135).
[5] L'AMANT J'ay au cuer freveur Et tres grant douleur, Quant je ne la voys. NATURE En beaulx motz courtoys Servir tu la doys Pour y prouffiter. LE FOL Mon gentilz galoys, Froyt avrez aus doys, Ce vous say noter. (Jeu quatre pers. L., 15e s., 184).
[6] JAUNE BEC (...). L'une des voys est femenine. CUIDER (...). Il a le cuer a la cuysine, Se jaune bec en son sotoys. (Pipée R., c.1470-1480, 189).
[7] ...je voys que entre vous et mon filh Paris est engendree une tres souverayne dilection, et ce qu'il veult, vous voulés, et que vous voulés, il veult, conclusion : je voys que cest ung propre acort sans nulle division que de vous deux. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 117).
[8] ...je voys que entre vous et mon filh Paris est engendree une tres souverayne dilection, et ce qu'il veult, vous voulés, et que vous voulés, il veult, conclusion : je voys que cest ung propre acort sans nulle division que de vous deux. (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 117).
[9] Ysabeau respondy et dist : "Vienne, selon mon advis il n'est point temps maintenant que je vous puisse respondre, mes, pour Dieu, gardés vous de trop courir, car j'ay ouy souvant dire que aucunes foys avance plus celuy qui va tout bellement que celuy qui court. Je voys et cognoys que amours vous ont feru de son arc en descovert..." (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 132).
[10] Je le te dy, belle seur, car je voys ycy une geline, que l'om nous ha tremys pour nostre disner. Et quar le pechié de goule est le peché qui plus fait obscur l'entendement de la creature et toute la devotion de l'arme, pourtant je vouldroye, se il te plaisoit et sembloit bon, que nous jeunessions huy, et puys toute ceste nuyt serons en oroyson (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 231).

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