C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de voiz dans la Base des Partiels 

20 attestations 
 Page /3 

[1] Aucuns saillent, aucun gargounent de la voiz et hochent la teste tellement que il samblait estre hors du sens. (JEAN LE LONG, Voy. Bieul B., 1351, 327).
[2] ...il eust en consideration que il veoit une region et pays obscur, plain de tenebres, de fumee et de punaisie, et celle ou on ne veoit riens, mais on y oyoit coups de marteaulx et de maillés, et amez braire et plourer, cris et horribles voiz getter par desesperation. (Déclar. Hyst. S., a.1449, 178).
[3] O glorïeuse Trinité, Incomprenable deïté: Trois personnes en unité Et une essence; Souveraine majesté Qui feïs yver et esté, Tout quanque y est et a esté, Par ta prudence. Tu cognois tout ce que cuer pense, Toutes choses voiz en presence, Des cuers congnois la concïence, C'est verité. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 341).
[4] D'autre part la bride et la selle Laquelle tu voiz la, c'est celle De quoy Aristote le saige Fut embridé par le visaige Et sellé pardessus le doux. Tant blasma le bien d'amer doulx Et tant le desprisa, qu'Amours S'en vengea par les subtilz tours De celle la qui lui bouta La selle, puis dessus monta Et des esperons lui donna (RENé D'ANJOU, Cuer am. espris W., 1457, 164).
[5] LE JUGE. \ça, messeigneurs, or vous hastez, Car aler vous fault enserchier Ces crestiens dont suis chargier ; Bien voiz qu'ilz ont fais grant offance. Or avant doncq chascun s'avence ! (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 71).
[6] LE IIIe CRESTIEN. Gueres ne nous convient debatre, Prenons les et couvertement Les pourterons deligenment En celle nefz, qui veult passer, Comme je voiz, oultre la mer, Se le maistre de la galée En veult de nous prandre soudée. (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 162).
[7] Et illeques fu mis I. exemple a propos de la consonance ou armonie des sons ou des voiz en musique. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 189).
[8] ...car Aristote dit ou ivre de Problemes que le chant qui est de consonancies ou d'acors et de voiz moiennes et proceines est melleur que ne est celui qui est d'acors plus distans ou plus lointains, si comme dyatessaron, dyaponte et dyapason sunt melleurs consonances ou acors que ne sunt double dyaponte ou double dyapason ou dyaponte sus dyapason. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 189).
[9] Chescun qui a voiz a juger peut estre dit preteur. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 200).
[10] Et avoient les gens du dit roy de Navarre grant asseiz et grant voiz par devers ledit regent (Chron. Jean II Ch. V D., t.1, 1350-1364, 247).

20 attestations 
 Page /3 
Fermer la fenêtre