C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de veyrent dans la Base des Partiels 

7 attestations 
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[1] Et quant les citoiens de Romme veyrent cheoir les grosses goutes et larmes des yeulx de tous les nobles d'Italie et d'Allemaigne, ilz s'escreverent a plourer et a maldire la male journee. Au devant duquel Fredice, frere de l'empereur et succedeur de l'empire, ala, vestu de noir, couroucié et marry ; a grant dueil fist faire les obseques funeraux de son frere. (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 52).
[2] Dont ceulx du royaulme eurent joye recouvree, quant ilz veyrent leur roy naturel restitué en sa haultaine maiesté, non obstant que par ung souldain desrocement de fortune en estoit naguaires debouté des ennemis de la foy. (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 165).
[3] Quant layans furent entrees, par la clareté d'une verriere que layans estoit, veyrent le sanc courir par my la chambre et les linceulx ensanglentés (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 86).
[4] Et sans plus mot dire, combien qu'il avesprissoit fort, il s'en ala hors de la cité a l'adventure, tant desplaisant qu'il ne sçavoit que devenir. Quant les dames veyrent Jason ainsy departir tout seulet et considererent son maintien, elles dirent l'une a l'autre qu'il n'avoit pas le cuer au large. (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 152).
[5] A celle heure que la povre Ysiphile fu jettee contre la nef, Herculés et Jason monterent en hault pour prendre l'aer et veyrent ce desolé corps tant richement atourné que l'or reluisoit par regorguemens des undes. (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 217).
[6] Ainsy moru Butoris miserablement par le glaive de Jason. Quant ses complices le veyrent ainsy mis a oultrance, ilz s'escrierent tous sus Jason et le renvahirent angoisseusement, en renouvelant les playez et les froissures que faittes lui avoient au malvais pas. (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 233).
[7] Et aussi, quant ils veyrent au dessus de ladicte montaigne une si grosse compaignie de leurs ennemis qui se ralioient l'un avec l'aultre, ilz doubtèrent d'entrer en eulx et attendirent leurs aultres compaignons, en hardiant l'un contre l'autre. (MONSTRELET, Chron. D.-A., t.5, c.1444-1453, 236).

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