| [1]
Et quant il veoyt qu'il povoyt sans dangier saoiller son cueur, commença a regarder la belle Maguelonne et le faisoit saigement et de bon cueur tresbien et secretement. (Belle Maguel. C., 1453, 21). |
| [2]
Et ne veoyt riens du monde sinon les boys au port qui estoit bien ramé et bien espés, et d'aultre part veoyt la mer longue et profonde. (Belle Maguel. C., 1453, 37). |
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Et ne veoyt riens du monde sinon les boys au port qui estoit bien ramé et bien espés, et d'aultre part veoyt la mer longue et profonde. (Belle Maguel. C., 1453, 37). |
| [4]
Et quant elle se vist au chemin, elle se retourna prestement dedens les boys et cercha ung lieu qui estoit hault et ramé dedens les arbres et se bouta dedens. Et d'illec veoyt les allans et venans et nully ne la povoit veoir. (Belle Maguel. C., 1453, 38). |
| [5]
Ainsi se atourna Maguelonne des vestimens de la pelerine que a peine veoyt luy ung riens du visaige et ce que se veoyt souilla de sa saliva sal[iv]a avec de terre. (Belle Maguel. C., 1453, 38). |
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Ainsi se atourna Maguelonne des vestimens de la pelerine que a peine veoyt luy ung riens du visaige et ce que se veoyt souilla de sa saliva sal[iv]a avec de terre. (Belle Maguel. C., 1453, 38). |
| [7]
...Jehan Godeffroy (...) estoit en celuy temps en telle maladie que il fut sept ans sans ce que il se peust aider de menbre que il eust. Et failloit qu'il fust tourné de l'une place en l'autre et ne veoyt goute. Et tous les jours failloit que en ung drap fust mis et tourné. (Mir. ste Cath. Fierbois C., 1470-1483, 1). |
Attestation de 