C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de vent dans la Base des Partiels 

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[1] Led. VJe iour de may se comparurent ... Herfleu et se mist en mer led. sr et sa compagnie le IXe iour et eurent vent ... désir. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 161).
[2] Et droytemant quant vint sur le mye nuyt, le vent se comensse moult mallemant a refresquer et quant fut le jour nous eumes tant de tourmente que par force nous fit retorner jusques au royaume de Calabrie (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 58).
[3] ...et d'illeques nous porta a le cipté de Cathanie ou royaume de Cecille, et de Catanie nous fist courrir a une autre cipté au dit royaume de Cecille que l'on appelle Messine mes nous avions si tres malle et outregeuze fortune de vent et de mal temps que (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 58).
[4] ...ainssi comme nous estiomps a ung trait de pierre de le ditte roche et la cuydions encontrer tout au través, que selluy fort vent nous estrema et vint ung autre qui soffla tiel cop le ditte nef que l'en porta long hors toute celle montaigne de roche (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 59).
[5] ...mes avions le vent contre nous que nous tourna en le ditte ille de Cecille a ung chief que l'on appelle Port de Pals ou prymes port et pousemes les ancres a grant payne pour le grant vent et marour qu'il faizoit. (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 61).
[6] ...mes avions le vent contre nous que nous tourna en le ditte ille de Cecille a ung chief que l'on appelle Port de Pals ou prymes port et pousemes les ancres a grant payne pour le grant vent et marour qu'il faizoit. (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 61).
[7] Et premièrement, ladicte cité est sur la rivière, laquelle rivière court per ung vent que s'apelle siroc, et descent envers le vent que s'apelle maistre ou entour (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 24).
[8] Et premièrement, ladicte cité est sur la rivière, laquelle rivière court per ung vent que s'apelle siroc, et descent envers le vent que s'apelle maistre ou entour (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 24).
[9] Ainsi comme nous estions en mer si leva un vent et oraige et tempeste si grant que nostre maronnier qui estoient ydolastre avec les autres de la nef cuiderent bien perir. (JEAN LE LONG, Voy. Odoric C., 1351, 83).
[10] Dont nous supplierent ces mescreans que nous feissions nos oroisons a nostre Dieu pour transquillité et vent agreable. (JEAN LE LONG, Voy. Odoric C., 1351, 83).

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