| [1]
Et en cele contree les hommes usent d'un navire qui est appelé "jasse", qui est tant seulement cousu de fust. (VIGNAY, Merv. Terre Outr. T., c.1331-1333, 10). |
| [2]
Et n'ont point d'autres cloches, et est force que les Cordeliers du Mont de Syon usent de timbre de boys au lieu de cloches. (Pèler. D., 1486, 389). |
| [3]
Et pourtant chartreux et religieux reformez ne usent pas de discant ne de orgue, pour tant que ce peut estre empeschement de interiore delectation. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 163). |
| [4]
Je te dys bien, cuer mondain, que c'est voirement miracle et grace pure de Dieu, chanter et entendre et escouter ce chant dedens son cuer, par la maniere que les cuers piteux, devotz et religieux en usent, et le congnoissent dedens eulz en mervilleux silence, en paix et en racoy de conscience (* *, 114). |
| [5]
Sanz nombre on pourroit tousjours dire Exemples et dis a despire Richeces, les maurenommees, Qui des sains furent pou amees. Jhesucrist petit les ama, Plus qu'autre riens les diffama, (...) Et qu'a desprisier elles facent Et ceulx pou louer qui amassent Au coust d'autrui diversement, Et en usent mauvaisement, Toute en est plaine l'escripture. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 208). |
| [6]
Ne vouldra point que ses tresoriers ou distribueurs de ses finances usent du stile commun, c'est assavoir soient menteurs ne pourmenans les gens de terme en terme (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 75). |
| [7]
...les bonnes et prouffitables choses ne doivent pas estre laissiees a cultiver et a acroistre pour tant se les folz mal en usent (CHR. PIZ., Cité dames C., c.1404-1407, 958). |
| [8]
Mais telz oultrages de draps et de pannes trainans se usent, et fault tantost des aultres (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 159). |
| [9]
Des auguremens et auspices, ou eurs, ay je monstre autrefois la cause parquoy ilz n'ont nul effect en personnes qui usent de leur franche voulente ou liberte. (ORESME, Divin. C., c.1366, 58). |
| [10]
Mes convient qu'il trespassent les ordenances et usent de delectations corporeles en privé, celeement et muciement. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 102). |
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Attestation de 