| [1]
Et pour ces causes nostre mere sainte Eglise use des orgues et des beaulz vestemens et nobles aornemens es jours solennelz, adfin que par ce les cuers soient resveilliez et excitez. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 163). |
| [2]
Et ne doibvent teles choses estre reprouchees comme euvres de nature et non pas de grace, comme bien chanter et deschanter etc., car grace use de nature comme de instrument. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 163). |
| [3]
...pluseurs jours ha, quil ha empris a faire novelle vie, moult contraire. Car il n'use plus de mestier de chevalerie ainsi comme il souloit, mes euse et ente avecques freres et gens de religion, et abandone du tout l'oneur de cest monde (LA CEPEDE, Paris Vienne K., 1432, 124). |
| [4]
Alons nous ent sanz point d'esloigne, Et prenez congié a son pere. Trop est de diversse matere Quant sy faitement vous refuse. Sa jonesse povrement use, Car il ne tient de luy nul conte. Plus tendra terre que un conte S'il vit a age. (Vie st Fiacre B.C.P., c.1380-1400, 19). |
| [5]
Il ne sent poim de la challeur. Par dieu, c'est ung droit enchanteur Qui use de enchantemant ; Il c'est ousté le senctemant. Il ne sent ausi peu que pierre. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 240). |
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Mais aussi es autres offices royaulx comment en use l'en, excepté toutesvoies les generaulx et gens de finance. Là n'est elle [la verité] ne mais comme droit stille en commun usage, car qui voult avoir du beau la baille y ait besongner n'y fauldra mie. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 164). |
| [7]
Et si que dit Tulles: Comme il n'affiere à homme mentir, decevoir, ne dire mal pour quelconques cause, ne doit doncques pour convoitise estre perdu nom de bon homme. Et de ses sermons tant horribles de quoy on use plus, je croy, en cestui royaume que nulle part ailleurs, reniemens, maugroyemens, et telles detestabletéz, si que devant est dit, souffrir à crestiens est faulte de foy et non crainte de Dieu. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 165). |
| [8]
Ycest bon roy, gardant à la ligne la loy de Dieu, comme le Decret deffende soubz peine d'escommeniement les champs de bataille, de quoy on use communement es cours des princes, en ordre d'armes, es cas non cogneus et non provez, comme ce soit une maniere de tempter Dieu, oncques ne vout en son temps consentir telles batailles. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V S. I, 1404, 63). |
| [9]
Afin qu'elle ne use pas moins de bonne operation lui present et lui non present, mes face tousjours aussi comme se il estoit present. (ORESME, Ycon. Arist. M., 1374, 839). |
| [10]
qui doncques use d'elle par autre manière, il se abbuse (ORESME, Monnoies W., c.1365, XLIX). |
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Attestation de 