| [1]
Mettez grande entente a ce que lez despens de vostre hostel soient raisonnables et a mesure, et que les deniers que despendrez soient en bons usages despendus, sagement et raisonnablement. Et qu'ilz soient prins droittement et loyalment. C'est a dire que vous gardiez de foles mises et de mauvaises prinses, comme sont aides. (Nouvelles inéd. L., p.1452, 122). |
| [2]
Soit toute enseignee et aprise des usages, drois et coustumes du lieu, et quelz choses y apertiennent; bien enlangagee, haultaine, se besoing est (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 150). |
| [3]
...et Dieux scet les autres superflues despens de festes, de baigneries, de disners et d'assemblees, selon les usages de Paris a accouchees, les unes plus les autres moins, qui la furent faictes en celle gesine. (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 185). |
| [4]
Soit toute enseignee et aprise des usages, drois et coustumes du lieu (...) bien enlangagee, haultaine, se besoing est, par bonne discrecion contre ceulx qui la vouldroient mespriser ou qui aucunement seroient rebarbatis et rebelles (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 150). |
| [5]
Car il convient determiner et reguler la quantité des possessions non pas seulement quant a la souffisance qui convient as usages politiques... (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 93). |
| [6]
Car l'Escripture met comment le roy appliqueroit ce que il prendroit sus eulz non pas en la neccessité de la deffense du païz, mes en ses propres usages et en aucuns deshonnestes, si comme a donner a ceulz qui garderoient ses femmes (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 149). |
| [7]
Et convient cuidier que le oevre est bannause et l'art et la doctrine bannause quelcunques funt inutiles as usages et as actions de vertu le corps ou l'ame sensitive ou l'entendement des filz des frans ou des citoiens. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 340). |
| [8]
Vous voïés, donques, que le roy Joas est loué, en la Sainte Escripture, de ce que il mist poine et diligence que lez oblacions du pueple fussent converties ez usages esquelles ilz devoient estre converties selon la volanté dez offrans. (Songe verg. S., t.1, 1378, 36). |
| [9]
Le roy Joas, duquel vous avés parlé, n'a pas pris ne appliquié lez biens de Sainte Eglise a soy ne en sez propres usages, mez lez fesoit convertir es usages de l'Eglise. (Songe verg. S., t.1, 1378, 37). |
| [10]
Le roy Joas, duquel vous avés parlé, n'a pas pris ne appliquié lez biens de Sainte Eglise a soy ne en sez propres usages, mez lez fesoit convertir es usages de l'Eglise. (Songe verg. S., t.1, 1378, 37). |
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Attestation de 