| [1]
Puis fit venir tous ses archiers, Tous ses tyrans y arbalestriers, Qui de fleches tout le ramplirent Et som corps partout trepassirent Tant qu'il sembloit unng vrissom [l. urissom], Le quel de droite nacion Est ramplis de mains aguillions. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 11). |
| [2]
Il saute sus unng molin a vant, Ne plus ne moins que une granoillie, [l. granoillie.] Y fet de la peau de sa coillie Unc sauc qui tient bien cent setiers. Il y chevroit [l. chenroit] bien deulx milliers De chastagnies en la sceyson. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 46). |
| [3]
Si le grant dyable me convoye A en tenir unng une foys, Bien peust dire que de ce moys A tieulx nouces ne se trouva. Par la cher tieu, puisqu'ansi vaz, Je veulx bien feyre mon devoir. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 70). |
| [4]
Je ne suis boyteulx ny affillé. Je suis legier comme unng levrier, Plus prest que n'est ung espervier, A tout mal feyre. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 79). |
| [5]
Vous ly aurés unng grant pardom Et une bonne indulgence. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 83). |
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Mon pere, c'est unng grant desroy De ainsi aneyentir nous dieulx. Vous en pourés en tenps et lieu Recepvoir unng tresgrant dommage. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 141). |
| [7]
Mon pere, c'est unng grant desroy De ainsi aneyentir nous dieulx. Vous en pourés en tenps et lieu Recepvoir unng tresgrant dommage. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 141). |
| [8]
Sachés, sire, que noustre loy Est perdue et noustre foy Sc'il n'y a brief provissiom. Le peuple est en comocion, Despuis qu'a vous nous ne parlasmes, Et que de cy nous en alasmes, D'unng grand mechief qui est venu. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 155). |
| [9]
Sa, ribaudaillie, que maugré N'a dieu de vous. Venés avant, Ces ribaus crestïens sont cyans Tous en unng tas. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 171). |
| [10]
Vous ne la doubtés pas unng pet. (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 271). |
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Attestation de 