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...ou par un porre qui est appelé sarcordes, qui conjoint et unit l'une partie a l'autre (S. GILLE, Comment. A.Y. L., 1362-1365, 170). |
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De chascun voult vourroit [le miroir] prendre Si la moitie sans actendre Que des .II. un assemblement Feroit, et en pourroit rendre Un tiers voult [dont le premier (Dieu), qui se regarde dans un miroir, s'unit avec son reflet (Jésus-Christ) pour ne former qu'un seul visage qui engendre à son tour un troisième visage pareil aux premiers (le Saint-Esprit)] où a reprendre N'avroit nul despareillement. (GUILL. DIGULL., Pèler. âme S., c.1355-1358, 352). |
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Ces .III. vouls [dont le premier (Dieu), qui se regarde dans un miroir, s'unit avec son reflet (Jésus-Christ) pour ne former qu'un seul visage qui engendre à son tour un troisième visage pareil aux premiers (le Saint-Esprit)] une trinite Feroient en simplicite Et seroient un seulement. (GUILL. DIGULL., Pèler. âme S., c.1355-1358, 352). |
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