C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ungz dans la Base des Partiels 

17 attestations 
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[1] Quelque ung doncques viegne avant et m'ayde a trouver termes droit cy consonans a ma matere, quant moy de moy mesmes ne puis avoir l'oeil a tout et que, au regart de plusieurs haultes et nobles conditions estans en ce roy, je voy plusieurs de ses peres avoir emporté tiltre, les ungz fondéz en nature, comme cely de long ou du bel, aultres en accident, comme celui de chauve (...), et desquelz poins trestous, et en tous regars de la plus part, ce roy droit cy prent et emporte portion a ly condigne (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 318).
[2] MARTIN. A noblesse, foy et hommage; Mais telz gaudisseurs, je suis seur, Ne pensent rien que de lengaige. GAUTIER. Flater en court MARTIN. Trancher du saige. MARTIN. Les ungz gours. GAUTIER. Aultres droguellés. (Gaut. Mart. A., c.1480-1500, 180).
[3] et quant ilz disoyent aucune chose que les ungz ou les autres n'entendoyent pas bien, ces truchemans le declairoyent. (Rambaux Frise S., c.1451-1475, 57).
[4] Le noble conte d'Artois (...) prist la belle pucelle et le mena a la danse ou tous deux eurent bien le regard dez ungz et dez aultrez qui grant esbat prendoient au regarder et disoient que jamais n'avoient veu sy belle paire (Comte Artois S., c.1453-1467, 6).
[5] ...sy ne faillirent de riens a faire lez salutacions et bienviengnanz ungz aux aultrez ; anchois lez firent sy notablement que mieulx on ne porroit penser ; et, apprez pluiseurs conjoÿssemens, le conte d'Artois lez amena en sa ville d'Arras ou clochez se faisoient bien oÿr (Comte Artois S., c.1453-1467, 17).
[6] Moult esbahis furent lez ungz et lez aultrez de cestuy estrange chevalier, pourtant que plainement langagoit et meismement le roy le fist venir devant luy (Comte Artois S., c.1453-1467, 54).
[7] ...et, a la verité, le bruit du conte d'Artois fu y [l. si] grant en payennie pour sez euvrez merveilleusez que les ungz ne menachoient lez aultrez, quant ilz se debatoient de langaigez, qu'ilz fussent rencontrez du conte d'Artois (Comte Artois S., c.1453-1467, 97).
[8] Aprés, on luy aporta ungz esperons d'or qu'il lui mist, et dist : «Sire, ces esperons vous adnoncent que aussy saillant que vous vollés que vostre cheval soit a la semonce de vos esperons, aussi saillant et mouvant devés vous estre aux commandemens de Dieu tenir et sainte Eglise deffendre». (Saladin C., c.1465-1468, 75).
[9] Et de prime encontre, desheaulmerent et jetterent par terre lez ungz lez aultrez. Mais la maistrise estoit d'enmener lez chevaux a sauveté - c'est a dire, jusquez aux mettes et banierez ordonnees - car quant aucun chevalier estoit abbatu, sourdoient gens propres a puissance, pour leurs chevaux rescourre. (Saladin C., c.1465-1468, 103).
[10] Et per toute la cité de Naples les chevaliers si allerent cercher d'ung costé et d'aultre ou ilz pourroient ouyr nouvelles, mais ilz ne peurent ouyr aulcune chose. Et lez ungz tournoient au bout de dix jours, et les aultres de quinze, sans riens trouver (Belle Maguel. C., 1453, 30).

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