| [1]
En ceste ysle dedans la mer se cuille le courail plus que en païs du monde et croist de sa propriété dedens la mer en petis arbres comme font roses, les ungs plus grans que les aultres (LE BOUVIER, Descript. pays H., p.1451, 67). |
| [2]
Et fut laditte flotte presque toute périe par fortune de mer, les ungs rompus par fortune en la coste de Bretaigne, les autres se rendirent prisonniers es pors d'Angleterre, excepté une petite nef de Florentins sur quoy j'estoye, laquelle fut allanchie au courant qui est entre le port de Hantonne et l'isle de Wicq, par l'espace de quinse jours. (LANNOY, Voy. amb. P.H., p.1450, 15). |
| [3]
...les ungs couvers de drap d'or (...), autres de brodeure, d'orfaverie, de drap de damas et de satin (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 323). |
| [4]
...se deffendirent si vigoureusement et tant barguygnerent les ungs avec les autres (variante) (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 430). |
| [5]
Novelles s'espardoient par le pays du cas, et disoient les ungs et les aultres que le duc estoit mort a Tournay. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 147). |
| [6]
Aprés y avoit d'autres tormentez d'autre et diverse maniere, les ungs estoient en naige et eaue de glace, les autres en feu horrible. (Déclar. Hyst. S., a.1449, 178). |
| [7]
...les ungs veulent estre honnourez de leur science et ceulx cy se debattent ensemble par argumens, cuidens et s'esforcens de oster le nom et la gloire l'ung a l'autre, qui est signifié par l'esteuf d'argent qui premierement vient de sapience. Cest esteuf est la saincte escripture et doctrine de sapience laquelle vient du ciel a terre (Déclar. Hyst. S., a.1449, 190). |
| [8]
Dont, comme le roy encquist aux ungs et aux aultres s'ilz sçavoient nulles nouvelles de son chevalier, l'en ne luy sceut riens dire affiremeement, sy non que aulcuns luy dirent qu'il estoit venu seigneurs d'Engleterre au tournoy disant qu'il y avoit eu ung chevalier de France sur la frontiere de leur pays quy illec avoit fait ung pas durant .XV. jours, duquel il avoit eu los et bruit et de .XV. chevaliers victoire sans nulz excepter. (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 79). |
| [9]
Ou second jour de may, que le rossignol jour et nuit maine son merveilleux et melodieux jargonneis et que les rosiers florissent, les arbres advestis de feulles donnent umbres gracieux, matin se leverent les ungs et les aultres. (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 85). |
| [10]
...pluiseurs parlemens furent sur ceulx quy avoient tournoyé, et des ungs et des aultres quy bien l'avoient fait seloncq leur puissance, mais chascun disoit, comme il estoit vray, que le chevalier aux armes vermeilles estoit passeroute. (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 101). |
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Attestation de 