C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de umain dans la Base des Partiels 

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[1] "Ilec est la tresoriere de grace, la royne de misericorde, la mere des povrez et orphenins. Et qui plus est, la est trouvé la Redempteur de l'umain lignage, Nostre Sauveur Jhesu Crist, qui envers Dieu le Pere est moyenneur et advocat pour les pecheurs... par desir tu peus tousjours a Dieu parler, a lui et a ses sains, leur ayde et secours demander." (Horloge de sapience S., c.1389, 125).
[2] ...le paradiz terrestre ou furent mises toutes les creatures, c'est assavoir l'omme et la femme, et la serpente, et les bestes et les arbres qui furent creez pour la consolation de l'umain lignaige. (Déclar. Hyst. S., a.1449, 148).
[3] En l'umain cuer se forme le chant de la haulte game en la souveraine porcion ou partie de la vertus volitive pour le temps de ce pelerinaige; car la voix est de charité, grace ou pitié seulement ou principalment (* *, 136).
[4] Diables ou estes vous aléz ? Cornemuséz, chantés, bauléz, Guaigné avons l'umain lygnaige. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 20).
[5] Par nous mentons vous voulons dire Comment nous avons exploicté. Nous avons plux de la moitier Des ames de l'umain lignaige. Nous avons plux grant avantaige, Il sont tous nostres sans respit, Car le Serpent, plain de despit, A tant fait qu'il sont prins a l'ouche. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 21).
[6] Grant joye de ly nous aviens En nostre cueur et grant ardure ; C'est celly quil la mort tresdure A souffert pour l'umain lignaige. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 265).
[7] Il [Dieu] dit qu'il veult que soit finée La vie de l'umain linaige, Ne ja il n'y laira estaige, Et puis rajoindra corps et ames ame[s]. (Jour Jug. R., c.1380-1400, 244).
[8] Faictes appeller l'umain gendre Et ... deliverrons Quant l'autre partie verrons. (Myst. Advoc. N.D. R., c.1360-1365, 59).
[9] Se ci a nulluy en presence Pour tout l'umain lignage aidier, Auquel Sathan veult hui plaidier, Si viengne tost en consistoire Devant nostre seigneur de gloire ! (Myst. Advoc. N.D. R., c.1360-1365, 59).
[10] Ne cuide nulz que querre veille Que l'umain lignage se dueille Par moy ne par ma pleidoierie ! Helas, je ne demande mie. Je n'ay pas la cole si haute [n'ay pas la cole si haute], Combien qu'il soient en deffaute ; Mais courtoisement vueil aler. (Myst. Advoc. N.D. R., c.1360-1365, 59).

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