C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de tuez dans la Base des Partiels 

27 attestations 
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[1] Car, par une noyse, il y eut, au partement d'ung port, des dictz Mores tuez par les gens du patron par quoy convient maintenant pour ceste offense payer, plusieurs acquitz (Voy. Hierus. S., 1480, 24).
[2] lesquelz furent tuez au commancement de la bataille, que comme vous ay dit fut si aspre et si bien les cops despartis qu'on ne sçavoit congnoistre qui en avoit du meilheur. (Rambaux Frise S., c.1451-1475, 60).
[3] ...ne tuez pas cest homme si hastivement, car ce vous seroit ung grant reprouche à tousjours mais et pourriez faire ceste chose si en haste que, tout le temps de vostre vie, vous en seriez courroucee. (Cleriadus Z., c.1440-1444, 186).
[4] Mectez vous y [y] tous en batailles bataille[s] Pour resister leur assault Sans espargner boyaulx, ventrailles, Tuez tout, soit petit ou hault. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 238).
[5] Vous ne deussiez avoir regar Fust a petit, ou fust a grant ; Tuez tout et n'espargnez riens, Que riens ne nous prouffitent vis. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 324).
[6] N'ayez en vous nulles discordes, Et tuez sans misericordes Les François sans les espargner, Et n'ayez pas peur qu'i vous mordent ; En leur sanc me feray baigner. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 454).
[7] Et y estoient de point en point, Hommes d'armes les plus certains, Bien cinq cens en leur compaignie, Lesquelz sont tous mors et estains, Noyez, tuez et mis a fins Par art ou par enchanterye. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 488).
[8] ...et sera gecté trait tant de ceulx de dedans comme de ceulx de dehors a grant confusion et impetuosité, et plusieurs navrez, tuez et gecter gens au bas des fossez par grant force de coulevrines et canons (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 541).
[9] Et est vray, comme vous savez, La ville de Jargueau est prise, Les gens de dedans pris, tuez, Prisonniers, et fait a leur guise Par les haulx fais et vaillantise De la noble excellant Pucelle. A la paine qu'elle y a mise, Jargueau est de nostre querelle. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 565).
[10] Et quant ce vint a l'assaillir, Eulx reluisant en leur harnois, Quant vint aux horions ferir Ne savoient ou il estois, Ne savoient que devenir ; Et furent vingt contre nous trois Et les tuez on par les vois Ne savoient ou il estois, (Contre ung de nous dix il estois) [((...))] (Et qui) ne savoient que devenir ; [Et furent vingt contre nous trois] Et les tuez on par les vois Ainsi que motons et brebiz. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 576).

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