C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de trouvees dans la Base des Partiels 

21 attestations 
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[1] ...bien mattin ariere [un messager] se trouva au devant du conte et de messire Simon (...), ausquelz il dist les nouvelles que avoit trouvees, qui le priserent de sa diligence et s'attendoient bien a son rapport (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 218).
[2] Sans plus attendre allons ou champ des escriptures : la sera fondee la Cité des Dames en paÿs plain et fertille, la ou tous fruys et doulces rivieres sont trouvees et ou la terre habonde de toutes bonnes choses. (CHR. PIZ., Cité dames C., c.1404-1407, 639).
[3] Si seroit grant merveille que naturellement elles y fussent tant enclines, et que toutesvoyes, elles fussent pou ou neant trouvees es lieux ou se vendent les friandises et lecheries, comme es tavernes et autres lieux ad ce ordonnez. La sont clersemees, et se aucun veult respondre que honte les en garde, je dis que ce n'est mie vray (CHR. PIZ., Cité dames C., c.1404-1407, 654).
[4] Car presque toutez choses que l'en pourroit penser pour bonne conversation humaine ont esté trouvees es temps passés, mez aucunes lays et ordenances pensees ne furent onques mises. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 85).
[5] Et doit l'en plus cuidier que elles ont esté trouvees par infinies foiz et innombrables. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 309).
[6] Pour laquelle chose faire plus sensible et plus clere il nous convient ordonner quatre nombres telz que le premier et le quart ensemble comparez facent la dessus dicte sesquitierce proporcion precisement, et ce premier aussy comparé au second soient ensamble en proporcion sesquioctave, et le second et le tiers aussy facent celle mesmes sesquioctave proporcion. Ces nombres donc soient cent nonante deux, deux cens et seize, .CCXLIIJ. et .CCLVJ., car ce sont les premiers et tous les mendres esquelz les dessus dictes proporcions puissent estre trouvees. (EVR. CONTY, Harm. sphères H., c.1400, 50).
[7] L'autre seconde partie de magique et qui plus proprement est magique appellee lesse les esperiz et ne se veult point mettre en leur dangier, ce samble. Maiz en ce lieu elle use d'aucunes autres choses trouvees en Nature qui ont vertus secretes et de grant efficace (EVR. CONTY, Harm. sphères H., c.1400, 95).
[8] La seconde oppinion est d'aucuns philosophes anciens et de leurs aherdans qui dient, au contraire, que toutes les parties de ceste science prennent leur efficace et toute leur vertu des causes naturelles, et que tous les effects et toutes les merveilles qui a ceste science sont attribuees peuent estre faictes par voie de Nature, et que on pourroit aussy de toutes assigner naturelle raison, et qu'elles furent aussy toutes trouvees par art et par engin humain sans esperiz quelxconques. (EVR. CONTY, Harm. sphères H., c.1400, 101).
[9] Mez, par laps de temps, nature humaine, si est enpyree en muers et en puissance et en vertu corporele, et, pour tant, lez loys et lez constitucions furent neccessaires et furent donees par Moÿse au pueple. Et aprés, pour ce que nature humaine va tousjours en enpirant et en declinant, furent trouvees lez loys civiles et lez aultres constitucions positives. (Songe verg. S., t.1, 1378, 210).
[10] Aucunes aultres sciences sont pour cognoistre lez choses advenir, lezquellez ne viegnent mie de neccessité, ne conmunement, ne si n'ont aucunes causes natureles, et telles ars et sciences sont faulses et descevantes, plaines de vanité, et ont esté trouvees et entroduytes par la decepcion de l'Anemi, conme dist saint Augustin (Songe verg. S., t.1, 1378, 364).

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