C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de tresbien dans la Base des Partiels 

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[1] Et puis, allay acheter ung tarquois tout blanc, tresbien garny. (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 60).
[2] ...il boit tresbien X ou XII grondilz de vin qui peuvent bien estre VI ou VII quartes (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 184).
[3] Les pluseurs portent de petis pavais de boys de quoy ilz se couvrent tresbien ... cheval (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 221).
[4] Et se pourroit tresbien servir et se les pourroit on bien mener aussi II ou IIIc ribaudequins sur roes, lesquelz on meneroit bien de Belgrado jusques ... Constantinoble. (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 226).
[5] ...ils se blessent tresbien et lourdement aucunes fois. (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 246).
[6] ...pour non souffrir sourdre division en sa maison, (...) fuye, [le duc de Bourgogne] ordonna que l'un ne l'aultre n'aroit ce plat, mes seroit jusques a la venue de l'un des deux ordinaires absens, et lors comme alors, chescun en son estat. Si s'en tint tresbien a content le linaige de Croy et ne demanda mieulx. Mes cely de Hemeries, qui estoit monté en l'escuelle et avoit le don de son maistre, icely s'en tint a grevé, et, (...), vint a son maistre li conte, luy signiffiant que son don luy estoit frustré (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 107).
[7] Dont et quand ce vint a parler des armes de tous deux, [le duc de Bourgogne] prisa et loa et l'un et l'aultre, et disoit que tresbien avoient fait les deux, l'un comme deffendant et l'aultre comme appellant. Si ne demora guieres que tous deux, l'un aprés l'aultre, ne comparussent devant ly (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 171).
[8] ...et si vert com il entre la bouche, ausi vert elle s'en ist a la plaie et nettoie tresbien les plaies de lour ordure. Et ensi puisse jeo bien idre qe un tout soul goute de vostre chier leet, ma douce Dame, me soeffiroit assez pur garrir mes plaies. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 134).
[9] Et desicome j'ai une si bone gardeyne qe me garde en ma maladie si tresdoucement et mes plaies envolupez si tres a poynt et si tresbien, qe trop serroit outrageous si jeo ne feusse pacient (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 233).
[10] C'est le meilleur que je m'en aille Vers Povre Peuple tout fin droit. Par le corps Dieu, hé! qu'il debvroit Bien quaqueter a son privé. Il sera tresbien arrivé S'il dist rien que je puisse ouÿr. Par cy me fault tout quoy tenir. Je le persois la, ce me semble, Et Bon Renon, eux deux ensemble. J'ourray quelque bon mottellet. (Pouvre peuple H., c.1450-1492, 170).

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