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Car tel [amant] y a que son fait n'ose dire, Et sy ne scet conment trayre confort. D'estudier mettra son effort En balader, ce sera son resort. Quant de son mal ne peult parler au mire, Cela ly peult donner aucun acort, Souvente fois, et solas et deport, Pour s'avencier d'amours sans en mesdire. (Jeu quatre pers. L., 15e s., 180). |
| [2]
LE IIIe SERGENT. Helas ! nous sommes sur le point De cy pereiller par fortune. Ha ! vray dieu de la mer, Neptune, Tu nous vuelle trayre a bon port ! (Myst. st Adr. P., c.1450-1485, 180). |
| [3]
Parle SAINT JEHAN a Nostre Dame. Hee, tresdoulce Vierge Marie, Grant deul pourtés. Ma doulce amye, Ne debvés pas tel doleur trayre ! Se que est fait ne pouvés deffaire. Pour quoy vous prie, dame des cieulx, Que maintenent laissiés vous pleurs. (Pass. Autun Biard F., 1470-1471, 122). |
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...telx serviteurs ansi tost et si hault eslievez, en science et vaillance, en vertuz singulieres, ne en puissance, ne scevent pas mieulx jouer des orgues et du psaltieron, ou mieulx trayre d'un bougeon que Vc autres ou mille qui se trouveroient en la ville. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.1, c.1386-1389, 571). |
| [5]
Lors un petit pion par droit et par raison en presence du roy assauldra un grant roch [roch] ou un offin. Et s'il saura bien trayre par droyt et par justice ou milieu de l'eschequier et pres du roy et de la royne, il ara sa querelle et la mectra a fin. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.2, c.1386-1389, 182). |
| [6]
Et tous les dessusdiz a cheval tiennent chacun son arc en sa main, appareillez de trayre de boujons et non pas de sayectes. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.2, c.1386-1389, 214). |
| [7]
Et quant le grant Caan sonnera un petit nacayre qu'il a a son arcon, nul n'osera plus trayre et la pelote chiet en la main d'aucuns des chevaliers, qui la rapporte au grant Caan. (MéZIèRES, Songe vieil pèl. C., t.2, c.1386-1389, 215). |
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La poudre de luy [d'aimant] boulte avoec lacheal garist d'ydropyzie. Se la poudre est mize sur l'arsure, cure tantost. Et vault moult a fayre l. trayre fier fors de corps de homme se on le melle avoec ongement. Ch'est la pierre des maronniers, car elle monstre a euls, par une aguille, les partyes que il quierent parmi les partyes de la mer ou il vont nagant. (MANDEVILLE, Lap. M., c.1350-1390, 184). |
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Attestation de 