C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de tray dans la Base des Partiels 

10 attestations 
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[1] Fuy toy d'icy, tray toy ariere ! Tresmeschant villain, plain pla[i]n de beves, Tu as escullé en nous fevez ! Quant villain naist, diables beurgent. (Pass. Semur D.M., c.1420 [1488], 94).
[2] ...de mon sain tray hors Les escrips du debat de lors. Les lui monstray pour visiter S'oster y faloit n'ajouster (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 269).
[3] "...Ditez moy de Fedry tout le demainnement. M'a il ossy tray? par amours dite m'ent." (Hugues Capet L., c.1358, 220).
[4] ...tantos le tray par sa grant mesproison : Si vous diray comment et par quelle ocoison (Geste ducs Bourg. K., c.1410-1419, 263).
[5] «Ahy ! dist Corbarans, pourquoy n'est chils pendus Qui tray la cité ? il fu bien durféus.» (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 164).
[6] Laquelle Yolete, pour ce que ledit prisonnier ne la vouloit enconvenancier par mariage, se tray par devers ung capitaine de brigans, nommé Hallé, qu'elle disoit estre son nepveu, et lui donna a entendre que ledit prisonnier qui l'avoit convenancée par mariage ne la vouloit espouser ne tenir lesdictes convenances. (Chancell. Henri VI L., t.1, 1423-1426, 342).
[7] Le quel exposant, veant ces choses à lui grandement prejudicier, se tray par devers nostre dit frere en lui exposant les choses dessus dictes (Doc. Poitou G., t.5, 1377-1390, 9).
[8] Le quel Michau, conducteur de la dicte femme, (...) se tray par devers les diz Billaut et Ferrant, en leur notiffiant et disant qu'il creoit que la dicte femme avoit prins et eu les dictes choses furtivement, à la promocion du quel les diz Billaut et Ferrant furent esmeus à l'encontre de la dicte femme (Doc. Poitou G., t.6, 1390-1403, 131).
[9] ...et lors ycelui suppliant print et tray le boucler dont il avoit joué au dit jeu de boucler pour resister aus cops des pierres que le dit Chevaignon lui gectoit et ruoit ; lequel boucler le dit Chevaignon froissa et rompi des coups des pierres qu'il rua et gecta contre ycelui suppliant, et avecques le frappa d'une douelle de tonneau par le visage au dessus de l'ueil (Doc. Poitou G., t.7, 1403-1430, 100).
[10] Lequel indigné et courroucié tant de la dicte bateure que des dictes injures, se tray vers une haye ou closture de blez, parce qu'il n'avoit point de baston, et tira de la dicte haye ou closture ung baston (Doc. Poitou G., t.8, 1431-1447, 186).

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