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Que fera l'en encore de nous en la fin qui nous refroidons si matin ? Quelle doleur a nous se ainsi nous volons decliner a repoz comme s'il fust ja paix et seurté, combien que encore ne appere trace de vraie sainteté en nostre conversacion ! (Internele consol. P., 1447, 337). |
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A Gieffroy [les prisonniers] prïerent adonc Qu'il les voulsist mettre dehors. Gieffroy dit: "Si feray je." Lors Serche, quiert trace et partout va, Et fait tant que les clefs trouva. Quant il les ot, a eulx revint Ou ilz estoyent plus de vint. De vint? Voire, plus de deux cens. La treille defferme par sens Ou estoyent enprisonné. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 279). |
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Des fais duquel ne fault pas demander, car ou qu'il voist ne viengne appert bien la sienne trace : s'il fiert aulcun de lance il faut qu'il voist a terre et se c'est d'espee, encores pis. (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 95). |
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Et se ces deux chevaliers le font bien, il ne faut pas demander des euvres du duc de Bourgongne, quy fiert et refiert, double et redouble, court et trace tant, que par sa grande voulenté et ayde qu'il treuve es Francois ilz mectent a mort plus de deux mil Englois avoecq les mil premiers. (Jehan d'Avennes F., c.1465-1468, 144). |
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"...car de la maison de Lalaing sont issus maints bons chevaliers et escuyers, desquels nous et nos ancestres avons esté bien servis, et je crois que celuy qui vous doit venir servir, ne forlignera point, mais suivra la trace de ceux dont il est issu." (Faits Lalaing K., c.1470, 13). |
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A fy ! l'ung de vous a vecy, Ou c'est moy, j'en sens la trace. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 210). |
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Je quiers cy toute jour et trace, Regardans moyens et cautelles Pour parvenir a mes querelles ; Mais je n'y sçay trouver moyen A quoy je puisse gaigner rien, Si prens trop grande fantasie. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 329). |
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ou pais de Trace estoit un roy appellé Diomedes qui a maniere de tyrant senz misericorde persecutoit les hommes (PREMIERFAIT, Cas nobles hommes G., 1409, 164). |
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Et tant que elle confessa publiquement le desloial propost de sa male pensee et s'enfuy hors de son naturel pays en huland et criant par prez, par champs, par bois de Trace et de Licie et d'aultres pluseurs pais (PREMIERFAIT, Cas nobles hommes G., 1409, 170). |
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Car il premierement ordonna en une montaigne appellee Cytheron les festes et sacrifices de Bachus dieu du vin, et selon loix sur ce faictes et approuvees il commenda aux hommes de Trace que les femmes du pays feissent les festes et sacrifices ou temps que elles souffrent le flux. (PREMIERFAIT, Cas nobles hommes G., 1409, 172). |
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Attestation de 