C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de toutte dans la Base des Partiels 

36 attestations 
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[1] En icelle église demourâmes toutte nuyt enclos, faisant noz voyages cha et la. (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 134).
[2] ...la mer est en ce lieu toutte quoye comme eauwe morte (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 171).
[3] ...le conte d'Artois, veullant obeÿr a toutte raison, se retray et party secretement, chevauchant le chemin qu'il estoit venu droit vers sa tente (Comte Artois S., c.1453-1467, 14).
[4] ...adont le conte de Boulongne envoya querir ung riche coler d'or a madame de Boulongne et par son ordonnance fu presenté au conte d'Artois par sa fille, laquelle luy mist au col en disant : «Monseigneur, comme au mieulx faisant de toutte la journee, lez damez vous font present de ce chapeau en vous priant que le veulliez prendre en gré.» (Comte Artois S., c.1453-1467, 15).
[5] ...sy fu adestree et advironnee de tant noblez hommez, damez et gentez damoisellez que toutte en fu la place jonchiee (Comte Artois S., c.1453-1467, 19).
[6] Sy ne troeve paz l'istorien que de toutte la journee il trouvast chevalier ny escuier qui le sceuist deschevauchier ou abatre son cheval non paz son eschine ployer (Comte Artois S., c.1453-1467, 20).
[7] Elle, quy estoit moult malingre, raemplye de toutte faulseté, afferma en son corrage de a son pooir aidier et secourir Liziart jusques ad ce que de sa damoiselle aroit le joïssance pour en faire sa volenté. (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 11).
[8] ...ses pensees furent a Gerart. Puis se redresse et s'assiet sur son lit. Ses dois despesche a frotter, puis dist a par soy : «Maintenant voy je bien que je suis toutte radottee, quant pour ung homme suis en tel point, que jamais ne veys et sy ne le congneu oncques fors tant seullement que au jour d'uy matin le vey armé en la bataille...» (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 66).
[9] De maltalent et de couroux commencha toutte a tressuer. La face luy devint obscure (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 70).
[10] Euryans, esmervellee du criesme que on luy mettoit, dont elle se sentoit pure et nette, s'assist en my la sale come celle que mieulx samble estre morte que vive, toutte deschevelee et deschausse, ainsy come de son lit avoit esté tiree jus, les mains jointes et a genoulx, cryant mercy au duc (Gérard de Nevers L., c.1451-1464, 86).

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