| [1]
Et par semblant cas ceulx que j'ay commis et leissé pour la garde de mes lieux, plasses, chasteaux et fortelesses leur vueillez estre obeïssans et favorables en toute necessité et feire pour eulx ce qu'ilz vous comanderont et verrés estre faisable touchant le sauvacion et fortifficacion d'icelles par affin que en deffaute de reparacion et bonne diligence ne se ayent a perdre. (CAUMONT, Voy. N., p.1420, 14). |
| [2]
la grande sale toute tendue de tappisserye de haulte lice ouvrée de fil d'or touchant le mistere de Gedeon. (* *, 47). |
| [3]
Et, item, nota que touchant le fait des aides, lors et par avant ledit jour dudit cri, il y avoit ... Paris LXVI fermes au moien desquelles les bourgois et le peuple de Paris et desdiz faulxbours avoient esté tres fort traveiliés, et desquelles LXVI fermes il ne demoura et ne demeure que les VI fermes dessusdites, tout le surplus desdites fermes fut lors quitté et remis par le roy comme dit est. (* *, 60). |
| [4]
... [Maistre Jehan de Clugny, ambassadeur du duc de Bourgogne au roi de France] il [le daulphin] vous signifia son allee par devers mondit seigneur le duc pour deux causes : l'une pour savoir son intention touchant le voyaige de Turquie, (...) ; et l'aultre cause si estoit pour requerir mondit seigneur le duc qu'il veulle estre moyen et intercesseur par devers vous affin qu'il puist estre et demorer en vostre bonne grace. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 38). |
| [5]
Le chancelier de France aux ambassadeurs du duc de Bourgogne] (r)Le tiers touchant la voulenté que mondit seigneur [le daulphin] dit avoir de s'employer au voyage de Turquie (...). Et semble bien que c'est une novelle couleur prinse pour tousjours eslongier de son reduire et venir devers le roy...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 65). |
| [6]
Le roi de France aux ambassadeurs du duc de Bourgogne] (r)Si est vray que j'ay oÿ ce que m'avez dit, ensemble ce que m'ont rapporté ceulx aveuc qui avez communiquié, touchant le bon voloir et affection que beau frere de Bourgoingne a envers moy, meismement pour appaiser ceste matere. Je l'en mercye. Aussi je n'ay ne n'eulx onques ymagination (...) qu'il se voulsist faire partie envers moy pour yceluy [Loÿs], car ce seroit trop estrange chose de soustenir le filz contre le pere...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 70). |
| [7]
... [messire Jehan de Rebremette] (r)Messire Henry, vous estes ung chevalier de bien, et me samble que vous portez enseigne a vostre bras (...). Je suis ycy venus devers vous pour y touchier a tel entendement que, se vous avez riens en ceur touchant ceste enseigne, je le vous accompliray a l'ayde de Dieu et pour l'onneur de vostre dame...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 137). |
| [8]
Mes le bon Saint Pere le fit tout a tiltre d'amour et d'affection qu'avoit envers la personne du prince que aultreffois avoit veu et cogneu, et pour l'onnorer et reverender en recompense de la bonne voulenté que scentoit en ly et [et] y esperoit trouver touchant la pourvision alencontre des infideles. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 250). |
| [9]
Si allegua pluseurs exemples touchant ceste matiere, tant des enfans d'Ysraël comme d'aultres. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 252). |
| [10]
Messire Pierre de Goux, ambassadeur du duc de Bourgogne auprès du roi de France] (r)Sire, touchant le fait de Lucembourg (...), monseigneur de Bourgoingne [monseigneur de Bourgoingne] pour satiffaire a vous en ceste question, vous supplie humblement et requiert qu'il vous plaise lui ottroier journee et lieu ouquel vos gens puissent communiquier avecques les siens de ceste matere ; et droit la, selon ce que y sera trouvé et que vostre droit y sera congneu plus cler que le sien, ly, liberalement, aimablement et sans estrif et sans faire delay ne difficulté quelconcque, il s'en veut deporter et cesser et non en relever jamés querelle...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 299). |
|
Attestation de 