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Argent, il est mys a basac. On ne l'a jamais par souhet; L'ung l'espargne, l'autre le het; L'ung en a trop, l'autre en a pou. De souhetter suys bien huet: Je trouveroye plus tost ung pou. Tenir tousjours bons termes brou, Rire a tous d'ung beau ris commung; Que j'amasse argent, ouy dea tou: Tant me sont cent ducas comme ung! (Gaut. Mart. A., c.1480-1500, 162). |
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He, faulce putaim venimeuse, Ne fus tu trouvee au fet Quant voustre varlet tou feysoit Toutes les foys que il vouloit ? (Myst. st Sébast. M., c.1451-1500, 124). |
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MARIE. (...) Aprés le menirent a Herode Et pour derision luy vesta une blanche robe, Et puis a Pilate fut randuz, Las, pour estre en la croix panduz, Le quel le rompit tou de batre. Las, je n'ay pas tort de moy combatre ! (Pass. Autun Biard F., 1470-1471, 121). |
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Raison s'en vint tout tou[t] droit a li Et li dist : (r)Vilain, or me di, Se Diex te gart, de quoi tu sers Et pour quoi sembles si divers ? Es tu messier ou fauchonneur Ou des trespassans espïeur ? Comment as non et ou quellis Ton grant baston et le prëis ? N'est pas baston bien avenant A preudomme ne bien seant.» (GUILL. DIGULL., Péler. vie humaine S., c.1330-1331, 161). |
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Attestation de 