| [1]
...et le font habilement et tost et plus que ung oublieur ne fait une oublie. (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 91). |
| [2]
Mais assés tost après, eulx doutans sa venue, se saisirent du batel et se mirent dedens, et se eslargirent bien auant en la mer (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 34). |
| [3]
Adonc il leur dit que le plus tost qu'il pourroit il retourneroit en Canare, et leur dist son intencion et qu'il emmeroit le plus des gens du pais de Normendie qu'il pourroit, et que son intencion estoit qu'il conquerroit, s'il pouoit, la grant Canare, au mains il lui bailleroit vne touche. (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 158). |
| [4]
Ces gens sont terribles gens et furieux, et gens ... sang et frapent plus tost que ceulx qui sont nourris de vin (LE BOUVIER, Descript. pays H., p.1451, 103). |
| [5]
Et tost après on treuve le gouffre de Sathalie qui contient comme l'on dist cent milles de long, o- allefois on est bien visitez de grans vents et tempestes. (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 107). |
| [6]
Ce jour tost après que fusmes logiez comme dit est, vinrent devers nous deux Mores ... tout deux chalmies courtes et fort larges par le dessoubz, et en jouèrent devant nous ... la mode du pays ; et sont lesdiz chalemies fort haultaines, et y avoit ung More qui jouoit avec eulx d'un grand tambur. (LENGHERAND, Voy. G., 1486-1487, 174). |
| [7]
...si tost que les guetz crierent alarme (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 179). |
| [8]
et ceulx qui ne sont soubz capitaines se y mettent le plus tost que faire se pourra, sur paine de forsfaire leurs chevaulx et hernoiz et leurs corps, a la volenté du prince (Chron. Mt-St-Mich. L., t.1, Pièces diverses, 1418-1432, 120). |
| [9]
Aprés donques que ainsy s'estoyent entreveuz et conjoÿs ces deux princes, le daulphin viennois et le duc de Bourgoingne, et que ouvert s'estoit de son estommac le daulphin viennois a son oncle, ordonnerent ensemble de faire partir leur ambassade ains plus tost que plus tard (...). Si furent ordonnéz a ce deux nobles chevaliers, messire Jehan de Croy, messire Simon de Lalaing, Toison d'or, roy de l'ordre du duc, et maistre Jehan de Clugny, maistre des requestes (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 29). |
| [10]
...tous sonnoient et tendoient a une fin et a une conclusion : c'estoit que l'heritier de France, le daulphin, se reduisist et venist vers son pere (...), et qu'en ce faisant, le roy luy presentoit son amour et sa grace, et oubliance de toutes jennesses et faultes passees ; et tant pour faire venir le daulphin plus tost a son intention en ce, prioit au duc son beau frere qu'a ce il le voulsist duire et instruire (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 90). |
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Attestation de 