C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de tire dans la Base des Partiels 

76 attestations 
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[1] ...et incontinent (...) vint de belle tire mectre le siege devant ladicte ville de Crevant (LE BOUVIER, Chron. Ch. VII C.C.J., c.1451-1455, 111).
[2] ...lesquelles choses ledit monsieur le marissal luy fit savoir par ses lettres, et luy escripvy que mondit seigneur s'en venoit de tire devers ly (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 35).
[3] ...si tost que [le seigneur d'Aussy] arriva a Bruselles, s'allita tout quoy et se trouva en grant peril de mort aveuquez pluseurs aultres qui tous furent entechiéz de maladie prise oudit pays de Zeellande. Mes le conte, desirant soy trouver devers son pere le duc et, de la, devers la contesse sa femme, lessa les maladez dariere ly audit Bruselles et de tire s'en ala a Mons en Hainaut, la ou le duc se tenoit pour celle heure et y besongoit aveques les estaz du pays. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 140).
[4] ...il est a toutez les portes meistre porter et lesse entrer et issir tout ceo qe lui plest - et certez, c'est plus de male qe de bien - et tant en sake, boute et tire de cele male Glotonie q'est y entree a grande plentee par la port de la bouche. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 50).
[5] ...et est un grante conforte quant homme poet ascun foize venir a toucher le renard ou la verge, et par entortiler la si tire homme le renard hors a la foize sanz gaires fouir. Cest verge si covient estre auqes fortelette et, mesque ele soit fait de trois verges, qe soient lieez ensemble et q'elles soient asseez longes, jeo croi qe sanz fouir homme sakera bien hors les renars. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 113).
[6] Il le fault ainsy tenir et croire, mais je vouldroie scavoir dont ce vient que la rarité fait le pris des choses et tire l'affection, comme on perçoit que les pluiseurs ont plus de devotion es lieux ou ilz ne vont pas souvent, de laquele devotion ilz se refroident par souvent frequenter et longuement demourer. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 163).
[7] Et puis aprés [Raymon] se pourpensa Que sa femme fait mesprison Et vers lui tort et traÿson. Lors tire du foureau l'espee, La pointe a contre l'uis posee; Tant boute par cy et par ça Que l'uys de fer oultre perça. Las! que mal laboura ce jour! Il en perdy joye et honnour. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 210).
[8] Une chambre [le géant] a apperceü, Dedens se lance, puis l'uis tire. Gieffroy le [le géant] voit, moult fu plain d'ire; Hurte l'huis a cours d'escueillie, La coulombe a deschevillie; Du pié fiert a tout le soulier, En la chambre fait l'uis voler, Si estoit l'uis moult fort barré. Le geant tint un mail quarré, Sur la teste Gieffroy en donne (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 277).
[9] Mais l'ours sur l'escu l'agrippa [le chevalier] Et sur l'espaule le happa; La maille desront et descire Et l'escu jus a terre tire. Bien lui ot l'espee besoing: L'ours va ferir dessus le groing, Qui si fort l'avoit agrippé, Que tout le groing lui a coppé Plus de plain pié, je le recorde. Or n'a plus garde qu'il le morde, Car trenchié l'a jusques aux yeux (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 320).
[10] Tire leurs bien les vers du né. Nul de toy ne se doubtera. (Pouvre peuple H., c.1450-1492, 170).

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