| [1]
Pour ce a ledit pelerin esperance en la misericorde de Dieu que, combien qu'il soit venus bien tart comme musart et a l'onzime eure, ou darrain quartier de ses jours, soubz l'onbre des benois Celestins (MéZIèRES, Test. G., 1392, 320). |
| [2]
Si convient estre tousiours sur sa garde pour ensuir la visitation de la grasce de Dieu et aler selonc son esmouvement et volenté, ne plus tost ne plus tart (* *, 44). |
| [3]
Ce qui tresgrandement empesche consolacion celeste c'est que trop tart tu te convertis a oroison. Car ançois que tu me pries ententivement, tu quiers moult de soulas et te recrees es choses de dehors. (Internele consol. P., 1447, 156). |
| [4]
Se tu te apuies plus a ta raison ou a ton industrie que a la vertu subgective de Jhesucrist, tu seras peu ou tart homme enluminé, car Dieu nous veult estre subgets a lui parfaictement et que nous surmontons toute raison par amour enflammee. (Internele consol. P., 1447, 306). |
| [5]
Pluseurs, soies seur et certain: Justice venra tost ou tart Et sera [ " saura " ] qui mangea le lart. Croy de vray ce que je te dis: Nul mal ne demore impugnis (Pouvre peuple H., c.1450-1492, 209). |
| [6]
TART ABILLE Que je fais, Dieu? Je suis sy, ou je regarde Ou peult estre la plus gaillarde Et la plus belle a mon advis. LORDAUT Qu'en veulx tu faire, beaulx amys, Dy, par ta foy, de la plus belle? Par saint Jehan, dancer avec elle (Lord. Tart Ab. L., c.1450-1465, 160). |
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Par Nostre Dame de Boulloingne, L'en ne fauldra pas a dancer Quant l'en prendra ung tel seigneur Conme vous estes! TART ABILLE Et pour quoy non? (Lord. Tart Ab. L., c.1450-1465, 160). |
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LOURDAUT] Je te pry qu'il soit pour nous deux [les mets apportés par Tart Abille]. Au fort, par ma foy, je le veulx, Car tu es ung bon malestru Et bon meschant. (Lord. Tart Ab. L., c.1450-1465, 161). |
| [9]
TART ABILLE (...) Mais advissés comment il pye! LOURDEAU C'est pour ce qu'il lui at bon vin. (Lord. Tart Ab. L., c.1450-1465, 161). |
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Joustes, dya! As tu oÿ dire Qu'il est eu jostes ceste annee? TART ABILLE Voyre, par la Vierge honnoree, Moult belles et moult merveilleusez E riches et aussy ponpeussez C'onques l'en vyt pour une foys! (Lord. Tart Ab. L., c.1450-1465, 167). |
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