C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de tard dans la Base des Partiels 

3 attestations 
 Page /1 

[1] Aprés donques que ainsy s'estoyent entreveuz et conjoÿs ces deux princes, le daulphin viennois et le duc de Bourgoingne, et que ouvert s'estoit de son estommac le daulphin viennois a son oncle, ordonnerent ensemble de faire partir leur ambassade ains plus tost que plus tard (...). Si furent ordonnéz a ce deux nobles chevaliers, messire Jehan de Croy, messire Simon de Lalaing, Toison d'or, roy de l'ordre du duc, et maistre Jehan de Clugny, maistre des requestes (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 29).
[2] ... [le duc bourguignon] estoit celui en qui cestui maleuré prince se fioit pour cause de sa preudommie et bonté, tant aussy pour cause que le roy au plus tard et au plus dur, ce luy sambloit, luy feroit refuz de ses requestes, non pas par amour que avoit envers luy, mes par ce que le scentoit estre cely de son royamme le plus a peser. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 121).
[3] Je] prononce que riens ne vouldroie avoir dit ne escript fors ce qui seroit agreable a Dieu, expedient a honneur, et glorieux et refulgent a sa royalle haultesse, non obstant que de deux contendans a ung pris, de deux mains ruans par estrif a ung paile, il convient qu'il y ait devant et dariere, qu'il y ait plus tost et plus tard, et que l'estrif de eulz et la luitte en ung contendre se distingue selong les adventures ou vertu aulcunefoiz, aucunefois bon sens, aucunefois bon eur soubz la main de Dieu qui [qui] ayde l'un et recule l'autre (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 323).

Fermer la fenêtre