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Nous sommes icy tous enclos ; Voila son tauldis et sa tante Et tous ses subgez et suppous, Qui ont en elle tant atante. (Mist. Siège Orléans H., c.1480-1500, 460). |
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(r)...Et si advient que père ou mère, Oncle, tante, seur ou frère Les reprennent par grant doulceur, Ilz prennent tout ce par rigueur». (Myst. ste Barbe P., 1493, 30). |
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Mais n'ommes pas loisir de sejourner La longuement ne gaires d'esrener, Quant la soingneuse Et trés vaillant, noble religieuse, Ma redoubtée dame gracieuse, Marie de Bourbon, qui est prieuse De celle place, Tante du roy de France, en qui s'amasse Toute bonté et qui tout vice efface, Si nous manda de sa benigne grace Que allissions Devers elle (CHR. PIZ., Dit Poissy R., 1400, 166). |
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Mais il n'orent singlé ne esté se pau non Quant il ont perchéu tant barge et tant dromon, Tante noble gallie à double mas en son, Venisse en fu pourprise entour et environ. (Hugues Capet L., c.1358, 237). |
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«...Or a ja si lonc temps qu'il a ma mort juree, Et mes loiaux amis en font tante suee, Et mes freres germains l'ont si chier comparee !...» (Renaut Mont. B.N. V., c.1351-1400, 366). |
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Godefrois de Buillon et ly hault palasin Véoient l'ost des Turs et le riche karin, Et tante riche ancube de soie et bon lin, A mainte riche sestacque qui furent de sapin. (God. Bouillon R., t.2, c.1356, 155). |
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Ce se entant par branches (es successions de droite ligne, comme de pere et de mere, et non mie collateral, comme de l'oncle ou de la tante, car l'en partiroit par chief, comme raison veult) et non pas par teste, car autant emporteront les enfans de l'une des femmes comme de l'autre. (Cout. bourg. glosé P.M., c.1380-1400, 264). |
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...nous vous prions trés affectueusement (...) que, (...) vous vueillés consentir (...) ledict mariaige et à ce fere inciter nosdicts tante et cousine, en leur remonstrant les biens qui s'en peuvent ensuir (Lettres Charles VIII P., t.1, 1483-1488, 5). |
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...nous vous prions que vueillez tousjours entretenir les nobles et populaire de par delà en bonne amour et obeissance envers nostre dicte tante [la duchesse de Milan] et cousin son filz. (Lettres Louis XI, V., t.3, 1465-1469, 35). |
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Attestation de 