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Et adonc vint une flote De ceux a la noire cote Qui flëutant et tabourant Vindrent moult joyeux au devant. «Or ca, disoient il [aux pèlerins], alons, Laisses chëoir tous ces bourdons Et vous escherpes, car besoing Ne vous est plus d'aler plus loing...» (GUILL. DIGULL., Pèler. âme S., c.1355-1358, 99). |
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