C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de souuent dans la Base des Partiels 

8 attestations 
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[1] Et sont les yaues bonnes ... grant planté, et tant de cailles que merueilles, et y pleut souuent (BONTIER, LE VERRIER, Canarien G., c.1425 [1482], 70).
[2] Pere sainct sans nul contredit Sagement feray la besongne Mais que iaye argent sans eslongne Ie seray tantost reuenu Moult et souuent trotte menu De mes deux piedz comme vne caille (Myst. st Martin K., a.1500, 288).
[3] Et senefie que cellui qui premierement les porta en armes [les vaches sauvages] estoit homme sauuage et velu et souuent decachié d'ennemis et se deffendoit contre eulx de guerre de feu plus que d'aultre chose. (Best. hérald. H.E., c.1435-1450, 474).
[4] Et segnefie que cellui qui premier le porta en armes [le corbeau] estoit noir et aymoit ses amys noirs et ceulx qui estoient blans desauouoit de lignage et estoit souuent ialoux que choses blances ne lui fussent riens s'il n'y veoit apperceuance de noir et voyaget loing pour querir sa praye sans prendre garde s'elle estoit ville ou honnourable mais quant elle lui plaisoit s'en aisoit fort sans courtoisie. (Best. hérald. H.E., c.1435-1450, 477).
[5] Perdris est vng oysel qui souuent est quis d'oyseaulx de praye pour la bonté de sa char mais est mont luxurieux que pour la challeur de sa luxure s'emtrebatent dessus leurs femelles et en oublient la connoissance de leur nature en telle maniere que les masles gisent ensemble cuidant estre auec leurs femelles. (Best. hérald. H.E., c.1435-1450, 484).
[6] Et se combatoit et esleuoit souuent contre ses ennemis et en ce ententif et se trouuoit volentiers es parties de Bretaingne ou il esmouuoit souuent guerre a ses ennemis et tres volentif de ceulx combatre. (Best. hérald. H.E., c.1435-1450, 495).
[7] Et se combatoit et esleuoit souuent contre ses ennemis et en ce ententif et se trouuoit volentiers es parties de Bretaingne ou il esmouuoit souuent guerre a ses ennemis et tres volentif de ceulx combatre. (Best. hérald. H.E., c.1435-1450, 495).
[8] Et senefie que cellui qui premier la porta en armes [l'araignée de mer] estoit vng homme a soy seulement et ooyt et escoutoit souuent choses agues et piquantes de quoy il frappoit et poingnoit ses ennemis et estoit merueilleux a approchier et a auoir son acointance car qui ne le hantoit par subtilité il se trouuoit frappé de la pointure de ses oreilles. (Best. hérald. H.E., c.1435-1450, 496).

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