C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de sez dans la Base des Partiels 

253 attestations 
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[1] Il n'est plus timeur de Dieu, ne foy ne charité : chescun attent ... sez besoignes et ... sez propriété. (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 165).
[2] Il n'est plus timeur de Dieu, ne foy ne charité : chescun attent ... sez besoignes et ... sez propriété. (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 165).
[3] La coustume du souldain du Caire si est de faire boucherie de sez armiraulx (Passage Terre Sainte Piloti D., 1441, 218).
[4] ...par trois resons il me semble qe jeo lui [Dieu] puisse et doi appeller et tenir humble : Primes, pur ceo q'il le fist et retient a son oeps et a sez eslitez. (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 28).
[5] ...le prince de la Chevalerie, en personne ou par sez sages et esleus chevaliers de la Chevalerie, sans fatigation ou repos en ce se doie travellier par toutes manieres que faire se pourra (MéZIèRES, Sustance H., 1396, 50).
[6] Et que pis est, le nom de Dieu, son propre sanc pour nous espandu en l'arbre de la vraie crois, son chief, sa mort et sez membres precieux, en reproce chascun jour il blafement horriblement par vilains sairemens et renoiemens. (MéZIèRES, Sustance H., 1396, 75).
[7] Il adouchoit lez furieux, humilioit lez orgueilleux, appaisoit lez discordez et brief faisoit tant que par sez meritez il estoit amé et loé dez hommez et amé de Dieu (Comte Artois S., c.1453-1467, 2).
[8] Et dist l'istoire qu'il se tenoit volentiers en la ville d'Arraz ou il se donnoit du bon tempz avecquez sez hommez et amis qui le venoient visiter honnourablement pour la valeur de sa personne (Comte Artois S., c.1453-1467, 3).
[9] Au fort, le conte d'Artois fu deshousé et mis a point ; et, ce fait, il fist venir devant luy ceulx qui s'entremettoient de sez affairez et leur commanda que, le plus secretement que faire porroit, il feissent tendre et drechier une tente assez prez du lieu ou l'assemblee devoit estre et la porter son harnois (Comte Artois S., c.1453-1467, 5).
[10] Mais vous devez croire que tout pou y reposa, tant pour le desir qu'il avoit d'acomplir son entreprise comme pour penser a sa dame, laquelle il veoit a son advis emprainte devant sez yeulx ; il tressailloit, souspiroit, soushaidoit, pensoit et contrepensoit, disant a par luy... (Comte Artois S., c.1453-1467, 7).

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