C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de sceussent dans la Base des Partiels 

7 attestations 
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[1] pour menaces ou laidures, ne pour blandices ou promesses que les dessusdiz princes et leurs aliés ou les aulcuns de eulz lors contraires au roy sceussent dire ou faire (* *, 92).
[2] Si luy [à Saladin] respondirent lors lez plus advanciés que c'estoit trop forte chose a faire, quelque puissance qu'ilz sceussent assambler, que conquerir France. Et il leur dist qu'il en vouloit veioir l'aparence a cause d'un sort qui sur luy avoit esté getté et qui assés coulouroit la conqueste, pour quoy lez barons se teurent, car il estoit craint en sez dis et en ses fais criminel et arretés. (Saladin C., c.1465-1468, 110).
[3] Le roy eut pitié d'eulx [les douze frères], leur donna chevance, pour eulx remettre en chastel, et leur conseilla de vivre en communautté, consideré leur prochainneté, jusques a ce qu'ilz sceussent gaigner pour eulx vivre et gouverner. (Nouvelles inéd. L., p.1452, 111).
[4] mais en ce perdirent leur pas, car pour chose que ilz sceussent dire ne faire, n'y volt entendre (Bouciquaut L., 1406-1409, 121).
[5] ...le dit exposant nous eust esté tesmoingné par noz amez et feaulx conseillers (...) estre le meilleur ouvrier qu'ilz sceussent en nostre royaume pour le dit fait et, pour cause de ce qu'il ne prenoit ou avoit aucuns gaiges, considerans sa souffisance, eussions ordonné que il venist par deça afin qu'il eust gaiges tauxez et assignez (Clos galées Rouen M.-C., t.2, 1335-1415, 201).
[6] Et ce pendant ne mist point en oubli qu'on le menaçoit de faire substraction à l'encontre de lui, et pour y pourveoir, sans ce que nulz de ses cardinaulx en sceussent riens, fist une constitucion sur grandes peines durant à perpétuité, à l'encontre de ceulx qui se substrairoient de son obédience et de ses successeurs. (MONSTRELET, Chron. D.-A., t.1, c.1425-1440, 150).
[7] Mais ains qu'ilz sceussent ou peussent tous entrer dedens la porte, furent si roidement poursuys de ceulx de l'ost que plusieurs en furent mors de lances, d'espées et de traict. (MONSTRELET, Chron. D.-A., t.2, c.1425-1440, 277).

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